Go to main content
000295903 000__ \\\\\nam\a22\\\\\7\\4500
000295903 001__ 295903
000295903 005__ 20220223002837.0
000295903 006__ m
000295903 007__ c
000295903 008__ 220217s2021\\\\sz\\\\\\s\\\\\00000\fre\d
000295903 0247_ $$2doi$$a10.22005/bcu.295903
000295903 037__ $$aDISSERT
000295903 040__ $$aRNV vdhep-
000295903 041__ $$afre
000295903 049__ $$avd
000295903 1001_ $$aVerdan, David
000295903 2451_ $$aProcessus d'élaboration et de détermination du sens du travail en milieu scolaire$$h[Ressource électronique]$$9fre
000295903 246_3 $$9eng
000295903 336__ $$aMémoires niveau master
000295903 502__ $$aHaute école pédagogique du canton de Vaud$$bMaster of Advanced Studies (MAS)$$cMaster of arts en sciences et pratiques de l’éducation$$92021
000295903 520__ $$aLes études portant sur la thématique du sens au travail ne manquent pas ces dernières années. La crise de la modernité, pour reprendre l’expression de Dubet (2002), n’épargne en effet que bien peu de domaines professionnels. Cependant, dans bon nombre d’études consultées sur le sujet, les caractéristiques d’un « travail qui a du sens » semblent souvent acceptées comme faisant «sens en soi», indépendamment des dispositions propres du travailleur. Cette constatation semble d’ailleurs être partagée par Bernaud (2018) qui, dans sa synthèse sur les travaux de psychologie portant sur le sens à l’école, au travail et à la retraite, déplore le fait que « beaucoup de productions scientifiques s’appuient sur des échelles qui mesurent un aspect du sens, donnant une coloration superficielle au problème. » (p.105). Prenant acte de la réflexion de Bernaud, le présent travail de recherche s’attèle dès lors à décrypter les processus subjectifs d’élaboration et de détermination du sens du travail en milieu scolaire en adoptant une approche d’ordre phénoménologique qui, selon Meyor (2005) invite à dépasser le monde perçu comme un « en-soi » et à opérer une conversion du regard permettant « de mettre en lumière les actes de conscience par lesquels nous constituons le monde en termes de sens ». Par « processus », il est donc entendu que le travail ne détiendrait pas de sens en soi, mais que le sens du travail relèverait plutôt d’un processus interne au sujet. Afin de marquer cet écart avec les concepts de « sens » ou de « signification », le concept de « sensification » a donc été développé pour les besoins de cette étude et définit comme suit : processus subjectif et dynamique par lequel un individu investit son action d’une signification qui lui est propre. Finalement, en s’intéressant au sens du travail dans un milieu professionnel fortement institutionnalisé, la présente recherche ne peut faire l’économie de la relation acteur-institution. A cet égard, une attention particulière a également été portée aux dispositions individuelles et institutionnelles en postulant que l’alignement de celles-ci seraient un facteur déterminant de la sensification du travail.$$9fre
000295903 6531_ $$9fre$$aSens du travail
000295903 6531_ $$9fre$$aSensification
000295903 6531_ $$9fre$$aTravail
000295903 6531_ $$9fre$$aEnseignement
000295903 6531_ $$9fre$$aCadre institutionnel
000295903 6531_ $$9fre$$aRésonnance
000295903 7201_ $$aLosego, Philippe$$edir.
000295903 8564_ $$98e235153-c579-44dc-b5fd-27aff0ef1297$$s1705472$$uhttps://patrinum.ch/record/295903/files/mp9608_maspe_p24365_2021.pdf
000295903 909CO $$ooai:bcu.tind.io:295903$$pNotices_bibliographiques$$pGLOBAL_SET
000295903 981__ $$aoverwrite
000295903 983__ $$bHaute école pédagogique du canton de Vaud