000255959 000__ \\\\\nam\a22\\\\\7\\4500 000255959 001__ 255959 000255959 005__ 20210304110533.0 000255959 006__ m 000255959 007__ c 000255959 008__ 200924s2018\\\\sz\\\\\\s\\\\\00000\fre\d 000255959 0247_ $$2doi$$a10.22005/bcu.255959 000255959 037__ $$aDISSERT 000255959 040__ $$aRNV vdhep- 000255959 041__ $$afre 000255959 049__ $$avd 000255959 1001_ $$aMaddage, Rajika 000255959 2451_ $$aRéussite ou échec scolaire : une influence sur la posture d'apprentissage des élèves?$$h[Ressource électronique]$$9fre 000255959 246_3 $$9eng 000255959 336__ $$aMémoires niveau master 000255959 502__ $$aHaute école pédagogique du canton de Vaud$$bMaster of Advanced Studies (MAS)$$cMaster d’enseignement pour le degré secondaire II$$92018 000255959 520__ $$aSelon Bautier, Charlot et Rochex, (2000), la réussite ou l’échec scolaire d’un élève est intimement lié à son rapport au savoir, c’est-à-dire à la relation de sens et de valeur qu’il confère à celui-ci. L’enseignant·e joue donc un rôle primordial et doit faire évoluer le rapport au savoir de l’élève pour l’intégrer dans une logique d’apprentissage et de réussite scolaire. Or, l’interaction entre l’élève et l’enseignant·e joue un rôle très important dans la réussite scolaire. L’élève adopte donc, selon Bucheton (2009), différentes postures d’apprentissage, plus ou moins porteurs de réussite, en mobilisant un ensemble de gestes, de savoirs et d’intérêts. Notre mémoire vise à étudier et analyser ces différents changements de postures selon la réussite ou l’échec scolaire des élèves. Le but étant d’analyser ces variations et si possible de mettre en évidence des postures prédominantes. A travers notre étude, nous avons constaté que les élèves en réussite adoptent préférentiellement une posture scolaire suivie d’une posture ludique-créative et en dernière position une posture réflexive. La prédominance de la posture scolaire nous indique que les élèves en réussite entrent dans une logique de cheminement en lien avec un rapport utilitariste. Dans la pratique, il y a donc un décalage entre la posture d’apprentissage visée par les enseignants et la représentation que se font les élèves de la réussite scolaire. Les élèves en échec adoptent préférentiellement une posture non scolaire, englobant à la fois une posture ludique-créative et de refus. Néanmoins, nous avons constaté que les élèves en échec adoptaient également une posture réflexive supérieure à celle des élèves en réussite. L’échec scolaire n’est donc pas uniquement attribué à une logique de cheminement. L’élève en échec essaie tout de même de rentrer dans une démarche réflexive pour mieux cibler et comprendre les causes de son échec.$$9fre 000255959 6531_ $$9fre$$aPosture élèves 000255959 6531_ $$9fre$$aPosture enseignante 000255959 6531_ $$9fre$$aRapport au savoir 000255959 6531_ $$9fre$$aRéussite scolaire 000255959 6531_ $$9fre$$aEchec scolaire 000255959 6531_ $$9fre$$aApprentissage 000255959 7001_ $$aJonquet, Leslie 000255959 7201_ $$aKappeler, Gabriel$$edir. 000255959 8560_ $$fsarah.rerat@bcu.unil.ch 000255959 8564_ $$914f93785-d030-41db-932c-3a79e3c03a7a$$s736789$$uhttps://patrinum.ch/record/255959/files/md_ms2_p35280_p35182_2018.pdf 000255959 909CO $$ooai:bcu.tind.io:255959$$pNotices_bibliographiques$$pGLOBAL_SET 000255959 981__ $$aoverwrite 000255959 983__ $$bHaute école pédagogique du canton de Vaud