000242160 000__ \\\\\nam\a22\\\\\7\\4500 000242160 001__ 242160 000242160 005__ 20210304110532.0 000242160 006__ m 000242160 007__ c 000242160 008__ 200501s2018\\\\sz\\\\\\s\\\\\00000\fre\d 000242160 0247_ $$2doi$$a10.22005/bcu.242160 000242160 037__ $$aDISSERT 000242160 040__ $$aRNV vdhep- 000242160 041__ $$afre 000242160 049__ $$avd 000242160 1001_ $$aRepond, Mathilde 000242160 2451_ $$aL'effet de l'utilisation de l'outil code lors de dictées sur les apprentissages des élèves$$h[Ressource électronique]$$9fre 000242160 246_3 $$9eng 000242160 336__ $$aMémoires niveau bachelor 000242160 502__ $$aHaute école pédagogique du canton de Vaud$$bBachelor$$cBachelor en enseignement pour les degrés préscolaire et primaire$$92018 000242160 520__ $$aDans ce mémoire, nous traitons de la correction codée en comparaison à une correction succincte dans le cadre des dictées non préparées en français, et son apport lors des corrections des élèves. Le code est un outil cognitif qui donne une indication à l’élève sur la nature de l’erreur qu’il a commise. Cet outil devrait donc permettre à l’élève de faciliter sa correction. De plus, une fois le code assimilé par l’élève, il deviendrait un outil métacognitif rendant l’élève plus apte à anticiper les erreurs de différents types qu’il pourrait commettre. Nous comparons donc dans ce mémoire les résultats obtenus par les élèves lors de deux dictées corrigées par l’enseignant-e avec un code, ainsi que deux dictées corrigées avec d’annotations succinctes. Cette comparaison a eu lieu dans deux classes de 6ème primaire différentes, composées respectivement de 17 et de 19 élèves. Nous avons ensuite classé les erreurs initiales des élèves selon leur catégorie (orthographe, accord du verbe, accord du groupe nominal, homonyme, etc.) et comparé le pourcentage de correction effectuée pour chaque catégorie lors des dictées avec une correction codée et lors des dictées avec une correction succincte. Le but de notre recherche était d’observer s’il existait une différence entre le taux de correction effectuée par l’élève lors des corrections faites à l’aide du code et le taux de correction effectué lors des corrections effectuées à l’aide des annotations succinctes de l’enseignant-e, et de voir si les élèves parvenaient donc utiliser le code en tant qu’outil cognitif, à l’assimiler, et à terme, à l’utiliser en tant qu’outil métacognitif.$$9fre 000242160 6531_ $$9fre$$acorrection 000242160 6531_ $$9fre$$acode 000242160 6531_ $$9fre$$aoutil 000242160 6531_ $$9fre$$acognitif 000242160 6531_ $$9fre$$amétacognitif 000242160 6531_ $$9fre$$adictée 000242160 7001_ $$aHuber, Matthias 000242160 7201_ $$aTrisconi, Estelle$$edir. 000242160 8560_ $$fdelphine.rod@bcu.unil.ch 000242160 8564_ $$924263f3f-eccb-4780-acee-ad7c1a7eb0bd$$s7179457$$uhttps://patrinum.ch/record/242160/files/md_bp_p32142_p33130_2018.pdf 000242160 909CO $$ooai:bcu.tind.io:242160$$pNotices_bibliographiques$$pGLOBAL_SET 000242160 981__ $$aoverwrite 000242160 983__ $$bHaute école pédagogique du canton de Vaud