@article{DISSERT,
      recid = {306076},
      author = {Chablaix, Kaori and Ghennai, Elyse Alice},
      title = {L'utilisation de la zoothérapie dans la gestion des  symptômes comportementaux et psychologiques de la démence  [Ressource électronique]},
      school = {Bachelor},
      number = {DISSERT},
      pages = {65 p.},
      abstract = {Contexte :  La population mondiale vieillit, les maladies  chroniques progressent, et la prévalence de déficit  cognitif augmente chez les personnes âgées. Les individus  se font plus souvent institutionnaliser. Avec la démence,  viennent souvent des symptômes comportementaux et  psychologiques de la démence (SCPD) qui rendent les soins  difficiles, épuisent les soignants, les proches et  abaissent la qualité de vie des personnes âgées. De  nouvelles thérapies complémentaires, dont la zoothérapie,  sont étudiées afin d’atténuer ces symptômes. But :  Évaluer  la pertinence de l’utilisation de la zoothérapie et de  l’animal dans la prise en soin de personnes âgées atteintes  de démence et souffrant de symptômes comportementaux et  psychologiques de la démence dans les établissements  médicaux sociaux (EMS). Méthode :  Effectuer une revue de  la littérature autour de trois concepts centraux : les EMS,  les SCPD et la zoothérapie. Établissement d’équations de  recherche à l’aide de mots clés relatifs aux concepts  centraux. Utilisation des bases de données CINHAL et  PubMed. Sept études ont été sélectionnées et analysées et  les résultats de ces études ont été mis en perspective avec  le modèle des besoins insatisfaits d’Algase. Résultats :   Les études de cette revue donnent peu de résultats  significatifs concernant l’utilisation de la zoothérapie.  Nonobstant, ils démontrent de légères différences entre les  groupes contrôles et les groupes d’interventions et aucun  effet délétère de la présence d’animaux. Les améliorations  suivantes peuvent être observées : une amélioration de la  communication et des habiletés fonctionnelles, une  augmentation de la sensation de plaisir et une baisse ou  stabilisation des symptômes de dépression et des symptômes  d’agitation. Il en découle aussi une amélioration de la  coopération des résidents. Ainsi la qualité de vie des  résidents augmenterait avec la zoothérapie. Conclusion :   La zoothérapie semble être une bonne option non  pharmacologique à la gestion des SCPD. Des études plus  longues et avec de plus grands échantillons seraient  pertinentes pour affirmer ses effets chez la personne âgée  atteinte de démence.},
      url = {http://patrinum.ch/record/306076},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.306076},
}