Dans le monde, 11 millions de personnes sont victimes de brûlures dont 16’700 en Suisse. Parmi eux, les grands brûlés sont les plus gravement touchés. En plus des conséquences biopsychosociales des brûlures, les patients sont confrontés aux symptômes de la douleur et l’anxiété, notamment lors de la dispensation des soins. Il semble donc pertinent pour une pratique des soins infirmiers de qualité de proposer et réaliser des interventions non-pharmacologiques permettant la diminution de ces deux symptômes.