TY  - GEN
AB  - La dépression post-AVC (DPAVC) est la première complication psychique de l’AVC (Hamid & MacKenzie, 2017). Elle peut atteindre entre 3 % à 79 % des victimes selon les ouvrages (Kneebone & Dunmore, 2000). Si cette complication n’est pas prise en soin rapidement, elle aura des répercussions négatives, autant sur le plan physiologique que sur le plan psychologique et ce tout au long de l’évolution de la maladie. En effet, la non-prise en soin de la DPAVC augmente significativement le taux de mortalité, réduit la qualité de vie du patient et de son entourage. Par la suite, ses chances de réhabilitation diminuent. À ce jour, la détection et le dépistage de la dépression post-AVC ne sont pas fait systématiquement et les patients sont sous-traités. Les infirmières reconnaissent que le dépistage et la détection de symptômes font partie de leur rôle dans la prise en soin de leur patient. Or, elles ne connaissent pas toujours les outils concernant la DPAVC ni les interventions à mettre en place en lien avec cette complication (Lightbody et al., 2007).
AU  - Bachelin, Maxime
AU  - Bergström, Pauline
AU  - Vionnet, Timothy
DO  - 10.22005/bcu.303434
DO  - doi
ED  - Zulauf, Bernard
ED  - dir.
ID  - 303434
KW  - dépression post-AVC
KW  - AVC
KW  - Dépistrage
KW  - Rôle infirmier
L1  - https://patrinum.ch/record/303434/files/TB%20375.pdf
L2  - https://patrinum.ch/record/303434/files/TB%20375.pdf
L4  - https://patrinum.ch/record/303434/files/TB%20375.pdf
LA  - fre
LK  - https://patrinum.ch/record/303434/files/TB%20375.pdf
N2  - La dépression post-AVC (DPAVC) est la première complication psychique de l’AVC (Hamid & MacKenzie, 2017). Elle peut atteindre entre 3 % à 79 % des victimes selon les ouvrages (Kneebone & Dunmore, 2000). Si cette complication n’est pas prise en soin rapidement, elle aura des répercussions négatives, autant sur le plan physiologique que sur le plan psychologique et ce tout au long de l’évolution de la maladie. En effet, la non-prise en soin de la DPAVC augmente significativement le taux de mortalité, réduit la qualité de vie du patient et de son entourage. Par la suite, ses chances de réhabilitation diminuent. À ce jour, la détection et le dépistage de la dépression post-AVC ne sont pas fait systématiquement et les patients sont sous-traités. Les infirmières reconnaissent que le dépistage et la détection de symptômes font partie de leur rôle dans la prise en soin de leur patient. Or, elles ne connaissent pas toujours les outils concernant la DPAVC ni les interventions à mettre en place en lien avec cette complication (Lightbody et al., 2007).
T1  - La dépression post-AVCla place de l'infirmière dans sa détection en phase aigüe à travers l'utilisation de divers outils et interventions dans le but d'en déduire les conséquences
TI  - La dépression post-AVCla place de l'infirmière dans sa détection en phase aigüe à travers l'utilisation de divers outils et interventions dans le but d'en déduire les conséquences
UR  - https://patrinum.ch/record/303434/files/TB%20375.pdf
ER  -