000303359 000__ \\\\\nam\a22\\\\\7\\4500 000303359 001__ 303359 000303359 005__ 20220315003732.0 000303359 006__ m 000303359 007__ c 000303359 008__ 220314s2021\\\\sz\\\\\\s\\\\\00000\fre\d 000303359 0247_ $$2doi$$a10.22005/bcu.303359 000303359 037__ $$aDISSERT 000303359 040__ $$aRNV vdhep- 000303359 041__ $$afre 000303359 049__ $$avd 000303359 1001_ $$aSchopfer, Sarah 000303359 2451_ $$aLa collaboration : $$bune précieuse ressource pour l’apprentissage des élèves présentant une dyslexie$$h[Ressource électronique]$$9fre 000303359 246_3 $$9eng 000303359 336__ $$aMémoires niveau bachelor 000303359 502__ $$aHaute école pédagogique du canton de Vaud$$bBachelor$$92021 000303359 520__ $$aLa dyslexie-dysorthographie est un trouble du langage de plus en plus présent dans les classes. Au sein d’une école à visée inclusive, il est essentiel d’accompagner ces élèves dans leurs apprentissages sans les écarter du groupe classe. Pour ce faire, les compétences des enseignants se voient prendre de l’ampleur et la collaboration avec les enseignant·e·s spécialisé·e·s semble essentielle. Notre travail de recherche a pour ambition de répondre à la question suivante : « Comment se met en œuvre le travail collaboratif entre l’enseignant·e ordinaire et l’enseignant·e spécialisé au sein des classes de 5-6 en Suisse et de 3-4P au Québec pour pallier les difficultés transdisciplinaires de compréhension en lecture des élèves porteurs de dyslexie ? » Ce travail vise deux objectifs. Premièrement, nous avons souhaité décrire et comparer les modalités de collaboration entre les enseignant·e·s spécialisé·e·s et régulier·ère·s en Suisse et au Québec dans les classes du primaire. Dans un deuxième temps, nous avons recensé et comparé les outils proposés aux élèves dyslexiques-dysorthographiques. Les réponses ont été obtenues grâce à des entretiens menés avec des enseignantes spécialisées et régulières, nous permettant d’émettre des hypothèses quant aux modes de collaboration favorisant les apprentissages des élèves dyslexiques-dysorthographiques. Nous avons finalement émis trois hypothèses. Tout d’abord, la réduction de l’itinérance des enseignant·e·s spécialisé·e·s pourrait favoriser le temps d’échange à disposition et l’entente entre collègues. Aussi, des pratiques plus fréquentes de co-enseignement permettraient aux élèves de rester intégrés au groupe classe, contrairement aux modalités de co-intervention souvent pratiquées. Finalement, les aménagements mis en place par les enseignantes régulières au sein de notre recherche semblent moindres alors que ceux proposés par les enseignantes spécialisées sont plus en accord avec la littérature. La collaboration entre ces deux corps de métier nous semble donc essentielle pour optimiser toutes les chances de réussite des élèves présentant une dyslexie-dysorthographie.$$9fre 000303359 6531_ $$9fre$$aQuébec 000303359 6531_ $$9fre$$aSuisse romande 000303359 6531_ $$9fre$$adyslexie 000303359 6531_ $$9fre$$acompréhension en lecture 000303359 6531_ $$9fre$$aenseignant·e·s régulier·ère·s et spécialisé·e·s 000303359 7201_ $$aBlanc, Anne-Claire$$edir. 000303359 7201_ $$aOdier-Guedj, Delphine$$edir. 000303359 8564_ $$916b39e1f-311b-476c-bfaa-e08c6fdbcbd5$$s864978$$uhttps://patrinum.ch/record/303359/files/mp9698_bp_p42174_2021.pdf 000303359 909CO $$ooai:bcu.tind.io:303359$$pNotices_bibliographiques$$pGLOBAL_SET 000303359 981__ $$aoverwrite 000303359 983__ $$bHaute école pédagogique du canton de Vaud