@article{DISSERT,
      recid = {303359},
      author = {Schopfer, Sarah},
      title = {La collaboration :  une précieuse ressource pour  l’apprentissage des élèves présentant une dyslexie  [Ressource électronique]},
      school = {Bachelor},
      number = {DISSERT},
      abstract = {La dyslexie-dysorthographie est un trouble du langage de  plus en plus présent dans les classes. Au sein d’une école  à visée inclusive, il est essentiel d’accompagner ces  élèves dans leurs apprentissages sans les écarter du groupe  classe. Pour ce faire, les compétences des enseignants se  voient prendre de l’ampleur et la collaboration avec les  enseignant·e·s spécialisé·e·s semble essentielle. Notre  travail de recherche a pour ambition de répondre à la  question suivante : « Comment se met en œuvre le travail  collaboratif entre l’enseignant·e ordinaire et  l’enseignant·e spécialisé au sein des classes de 5-6 en  Suisse et de 3-4P au Québec pour pallier les difficultés  transdisciplinaires de compréhension en lecture des élèves  porteurs de dyslexie ? » Ce travail vise deux objectifs.  Premièrement, nous avons souhaité décrire et comparer les  modalités de collaboration entre les enseignant·e·s  spécialisé·e·s et régulier·ère·s en Suisse et au Québec  dans les classes du primaire. Dans un deuxième temps, nous  avons recensé et comparé les outils proposés aux élèves  dyslexiques-dysorthographiques. Les réponses ont été  obtenues grâce à des entretiens menés avec des enseignantes  spécialisées et régulières, nous permettant d’émettre des  hypothèses quant aux modes de collaboration favorisant les  apprentissages des élèves dyslexiques-dysorthographiques.   Nous avons finalement émis trois hypothèses. Tout d’abord,  la réduction de l’itinérance des enseignant·e·s  spécialisé·e·s pourrait favoriser le temps d’échange à  disposition et l’entente entre collègues. Aussi, des  pratiques plus fréquentes de co-enseignement permettraient  aux élèves de rester intégrés au groupe classe,  contrairement aux modalités de co-intervention souvent  pratiquées. Finalement, les aménagements mis en place par  les enseignantes régulières au sein de notre recherche  semblent moindres alors que ceux proposés par les  enseignantes spécialisées sont plus en accord avec la  littérature. La collaboration entre ces deux corps de  métier nous semble donc essentielle pour optimiser toutes  les chances de réussite des élèves présentant une  dyslexie-dysorthographie.},
      url = {http://patrinum.ch/record/303359},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.303359},
}