@article{DISSERT,
      recid = {297640},
      author = {Vorlet, Lorianne and Janeckova, Ema},
      title = {La pratique de récupération chez les adolescents en classe  au cycle 3 [Ressource électronique]},
      school = {Master},
      number = {DISSERT},
      pages = {43},
      abstract = {Il existe plusieurs méthodes d’apprentissage dont par  exemple relire la matière ou souligner les parties  importantes d’un texte à retenir. Hélas, ces méthodes sont  les plus utilisées des élèves et ils n’ont pas forcément  conscience qu'elles sont de faible efficacité. Une méthode  qui consiste à se remémorer une information sans aucune  aide extérieure a été investiguée par les chercheurs. Ses  effets positifs ont été démontrés sur la mémoire à long  terme, tant en laboratoire que dans des conditions réelles  chez les enfants en âge primaire, les jeunes adultes et  adultes. Cette technique ayant le pouvoir d’améliorer la  mémorisation est appelée pratique de récupération  (retrieval practice en anglais). Nous avons réalisé une  étude sur des adolescents en dernier cycle de l’école  obligatoire qui n'ont fait l’objet que de peu de recherches  jusqu’à présent. Notre étude vise à enquêter sur cette  technique d’apprentissage dans les conditions scolaires  suisse. Ce travail aborde deux questions : 1. Peut-on  influencer le choix de stratégie des élèves vers la  pratique de récupération ; 2. Est-ce que la pratique de  récupération produit une meilleure mémorisation à long  terme ? Nous avons tenté d'expliquer la technique de  récupération à l’aide d’une vidéo à un groupe d’élèves qui  a constitué le groupe expérimental. Un autre groupe  d’élèves, dit de contrôle n’a pas eu d’explication  concernant la pratique de récupération. Les deux groupes  d’élèves ont appris un vocabulaire hongrois-français lors  d’une première phase et ont ensuite été testé sur ce même  vocabulaire durant une seconde phase. Lors de la première  phase, ils étaient entièrement libres dans leurs choix de  stratégies d’apprentissage afin d’être capable de restituer  le plus de mots possibles lors de la deuxième phase la  semaine suivante. Grâce à cette étude, nous avons pu  observer que les filles et les élèves en voie prégymnasiale  se retestaient plus souvent lors de la première phase et  étaient meilleurs au test final se déroulant une semaine  après. Mais ces résultats ne nous permettent pas de  confirmer les bénéfices de la pratique de récupération sur  la mémoire à long terme chez les adolescents. Nous n’avons  également pas réussi à influencer le choix des élèves  envers cette stratégie pourtant si efficace.},
      url = {http://patrinum.ch/record/297640},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.297640},
}