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000295923 1001_ $$aPaillat, Mathilde
000295923 2451_ $$aL’influence du rapport à l’erreur sur l’exercice de l’autorité en classe$$h[Ressource électronique]$$9fre
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000295923 336__ $$aMémoires niveau master
000295923 502__ $$aHaute école pédagogique du canton de Vaud$$bMaster$$cMaster d'enseignement pour le degré secondaire I$$92021
000295923 520__ $$aCe travail explore comment le rapport à l’erreur des enseignant·e·s impacte leur autorité en classe. La méthodologie retenue est une analyse thématique qui s’appuie sur des entretiens semi-directifs pour faire émerger les représentations des enquêté·e·s sur leurs erreurs et sur leur autorité en classe. Cette analyse permet de relever quatre grands types d’erreurs : les erreurs d’inattention (type A), les erreurs factuelles (type B), les erreurs pédagogiques (type C) et les erreurs interpersonnelles (types D). Face à ces erreurs, le ressenti peut être plutôt négatif, neutre ou positif. De manière générale, lorsque des émotions négatives apparaissent, les enseignant·e·s ont tendance à adopter des stratégies d’évitement de la sensation désagréable ou de futures erreurs. Lorsque le ressenti est plus neutre, les enseignant·e·s choisissent souvent des stratégies de remédiation, en clarifiant le contenu et en restaurant la relation de confiance avec les élèves. Finalement, lorsque les émotions sont positives, les enseignant·e·s évoquent des stratégies de valorisation, grâce auxquelles ils parviennent non seulement à rebondir sur leurs erreurs, mais à apprendre de celles-ci et à modeler un rapport positif aux erreurs. Ainsi, il existe trois sortes de rapport à l’erreur. Parfois, les enseignant·e·s considèrent que l’erreur est un danger, qu’il faut à tout prix éviter au risque de se décrédibiliser face aux élèves. Dans d’autres instances, les enseignant·e·s voient l’erreur comme un accident, à éviter, mais qui fait partie de l’enseignement. Finalement, il est aussi possible de considérer que l’erreur est une opportunité d’apprendre, autant pour les enseignant·e·s que pour leurs élèves. Ces différents types de rapports à l’erreur ont un impact sur l’autorité de l’enseignant·e. En effet, lorsque l’erreur est considérée comme un danger, “être l’autorité” et “faire autorité” devient difficile, ces deux pôles reposant sur le statut et l’expertise disciplinaire et pédagogique. Au contraire, un rapport à l’erreur positif permet à un·e enseignant·e d’entrer dans le processus d’autorisation qui lui permettra d’“avoir de l’autorité”. Dans ce cas, les erreurs ne sont plus un danger mais une opportunité d’apprendre et de consolider son autorité.$$9fre
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