000282122 000__ \\\\\nam\a22\\\\\7\\4500 000282122 001__ 282122 000282122 005__ 20211005225709.0 000282122 006__ m 000282122 007__ c 000282122 008__ 211005s2020\\\\sz\\\\\\s\\\\\00000\fre\d 000282122 0247_ $$2doi$$a10.22005/bcu.282122 000282122 037__ $$aDISSERT 000282122 040__ $$aRNV vdhesa 000282122 041__ $$afre 000282122 049__ $$avd 000282122 1001_ $$aChristan, Marine 000282122 24510 $$aImpact du trigger expiratoire automatique sur la synchronisation patient-ventilateur en ventilation non-invasive à deux niveaux de pression$$bétude sur banc d’essai$$cMarine Christan, Manon Mathys$$h[Ressource électronique]$$9fre 000282122 2451_ $$aImpact du trigger expiratoire automatique sur la synchronisation patient-ventilateur en ventilation non-invasive à deux niveaux de pression$$bétude sur banc d’essai$$cMarine Christan, Manon Mathys$$h[Ressource électronique]$$9fre 000282122 246_3 $$9eng 000282122 300__ $$a56 p. 000282122 336__ $$aMémoires niveau bachelor 000282122 502__ $$aHaute Ecole de Santé Vaud - HESAV$$bBachelor$$cPhysiothérapie$$92020 000282122 520__ $$aIntroduction : Pour pallier les problèmes d’asynchronies souvent rencontrés, certaines firmes ont développé, sur la base d’algorithmes complexes, des triggers expiratoires automatiques tels que l’Auto-Trak™ (Vignaux, Tassaux, & Jolliet, 2007). À l’heure actuelle, aucune étude n’a montré la supériorité des réglages automatisés du trigger expiratoire sur les réglages manuels. But : L’objectif de notre travail est d’évaluer l’impact du trigger expiratoire automatique par l’Auto-Trak sur la synchronisation patient-ventilateur en VNI-2P (mode VS-AI) en le comparant à un réglage manuel par des cliniciens dans différentes caractéristiques mécaniques du système respiratoire. Méthode : Le réglage du trigger expiratoire en automatique et en manuel sur une VNI-2P a été évalué sur un modèle pulmonaire informatisé simulant trois caractéristiques mécaniques (normale, restrictive, obstructive). Pour la session manuelle, chaque clinicien devait régler le trigger expiratoire trois fois pour chacune des caractéristiques mécaniques respiratoires (selon un ordre randomisé). Ensuite, la même passation était appliquée pour la session automatique par l’Auto-Trak. Chaque session a été analysée afin de déterminer les déphasages expiratoires, définis par le décalage (en millisecondes) entre la fin du temps de pressurisation du ventilateur (Tp) et la fin du temps inspiratoire neural du patient (Ti). Résultats : Une différence significative (p=0,001), à niveau de fuite égal, a été mesurée entre les trois déphasages dans les deux modalités de réglage (automatique et manuelle). Entre les deux modalités de réglage, dans toutes les caractéristiques mécaniques, une différence significative (p<0,002) a aussi été observée. En caractéristique mécanique normale, un déphasage plus important a été mesuré lors des réglages manuels (175ms (173ms ; 177ms) en manuel versus 146ms (142ms ; 160ms) en automatique). Pour les caractéristiques mécaniques restrictive et obstructive, un déphasage plus important a été mesuré lors des réglages automatiques (Auto-Trak) (en restrictif -123ms (-135ms ; -71ms) en automatique versus 9ms (-22ms ; 59ms) en manuel ; en obstructif 316ms (313ms ; 322ms) en automatique versus 300ms (171ms ; 334ms) en manuel). Conclusion : En caractéristiques mécaniques restrictive et obstructive, l’Auto-Trak est moins performant que les réglages manuels en termes de synchronisation expiratoire. A l’inverse, une supériorité de l’Auto-Trak sur le réglage manuel est observée pour la caractéristique mécanique normale.$$9fre 000282122 6531_ $$9fre$$ahesav TB Phy 000282122 7001_ $$aMathys, Manon 000282122 7201_ $$aMichotte, Jean-Bernard$$edir. 000282122 8564_ $$9d53539a3-2b92-459a-89b1-7def7c4592d0$$s1339195$$uhttps://patrinum.ch/record/282122/files/HESAV_TB_Christan_2020.pdf 000282122 909CO $$ooai:bcu.tind.io:282122$$pNotices_bibliographiques$$pGLOBAL_SET 000282122 981__ $$aoverwrite 000282122 983__ $$bHaute Ecole de Santé Vaud - HESAV