@article{DISSERT,
      recid = {282082},
      author = {Rochat, Aurélia and Martins Andrade, Cristina},
      title = {La zoothérapie serait-elle un moyen utile pour améliorer  la qualité de vie des personnes âgées institutionnalisées ?  [Ressource électronique]},
      school = {Bachelor},
      number = {DISSERT},
      pages = {69 p.},
      abstract = {Contexte : La proportion des personnes âgées au sein de la  population augmente de plus en plus. L’augmentation de  l’espérance de vie permet de retarder l’entrée en maison de  retraite mais cela provoque une augmentation du nombre de  personnes ayant une mauvaise qualité de vie à cause de  maladies chroniques invalidantes et/ou des difficultés  bio-psycho-sociales. La zoothérapie vise à maintenir ou  améliorer les conditions physiques et psychiques, et donc  la qualité de vie, grâce à la présence d’un animal inclut  dans l’approche thérapeutique. C’est une approche innovante  de plus en plus mise en avant, notamment dans les  établissements médico-sociaux, car elle s’inscrit dans la  tendance des nouvelles thérapeutiques alternatives  non-pharmacologiques. Objectifs : L’objectif de cette revue  de littérature est de savoir si l’application de la  zoothérapie auprès des personnes âgées institutionalisées  au sein d’une maison de retraite pourrait améliorer leur  qualité de vie et si cette approche s’inscrirait comme une  technique de soins bénéfiques pour les infirmières. Méthode  : Utilisation de deux bases de sonnées pour la revue de  littérature : CINHAL et PubMed. 10 articles ont été  sélectionnés selon les critères d’inclusion suivants :  personnes âgées de 80 ans et plus ; publications comprises  entre 2009-2019 ; en langue française, anglaise ou  portugaise. Discussion : Les articles analysés souhaitaient  présenter les bienfaits qui peuvent être obtenus lorsque la  zoothérapie est appliquée en maison de retraite. Les  bienfaits observés sont émotionnels, affectifs mais aussi  physiques et sensoriels. Les auteurs ont notamment observé  des améliorations des relations sociales entre les  participants institutionnalisés. La revue de littérature  montre aussi que les personnes âgées peuvent être  réceptives aux animaux domestiques et que cela peut  potentialiser l’effet bénéfique des activités réalisées  dans un cadre thérapeutique. Il est important de noter que  ces bienfaits sont parfois énoncés avec retenue car la  population étudiée présente des pathologies cognitives  évolutives qui peuvent biaiser certains résultats. Les  auteurs soulèvent aussi la nécessité de continuer ces  études sur de plus grande population et sur des durées plus  importantes dans le but de confirmer les résultats  prometteurs observés.},
      url = {http://patrinum.ch/record/282082},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.282082},
}