@article{DISSERT,
      recid = {269353},
      author = {Feniès, Corentin and Mayencourt, Gil},
      title = {Étude comparative de l'activité des élèves en basketball  traditionnel et en streetball [Ressource électronique]},
      school = {Master of Advanced Studies (MAS)},
      number = {DISSERT},
      abstract = {Dans le cadre de ce mémoire, nous avons effectué une étude  comparative entre deux formes de basketball, à savoir, le  basketball 5 contre 5 (5vs5) sous deux paniers et le  basketball 3 contre 3 (3vs3) sous un panier. Dès lors, nous  nous sommes posé la question suivante : lors d’un cycle de  basketball en EPS au secondaire II, quels sont les impacts  de la pratique du jeu 3vs3 sur la quantité de mouvement,  l’intérêt en situation et la charge cognitive des élèves,  ceci vis-à-vis du mode de jeu 5vs5 ? Cette étude menée sur  dix étudiants de 1ère année d’école de commerce, d’école de  culture générale et d’école de maturité (âge : 16.5 ± 2)  mêle donc recueil des données quantitatives à l’aide de  podomètres et recueil de données qualitatives à l’aide de  questionnaires. Les résultats montrent de manière générale  que, pour un volume de jeu équivalent, le nombre de pas  moyen est 15% plus élevé en 5vs5 qu’en 3vs3. Plus  spécifiquement, la différence de pas entre les deux  pratiques pour un même sujet a tendance à se creuser quand  la quantité de mouvement est globalement élevée. À  l’inverse, quand celle-ci est plus basse, la différence  interpratique a tendance à s’amenuiser, voire à s’inverser  (le sujet fait plus de pas en 3vs3 qu’en 5vs5). Enfin, les  différences de déplacements entre les sujets sont plus  marquées en 5vs5 qu’en 3vs3 avec lequel la quantité de  mouvement entre les individus est plus uniforme. Dans le  cadre strict de notre échantillon, nous avons pu constater  que le 3vs3 n’a pas fait plus bouger les élèves que le  5vs5. Cependant, le mode de jeu 3vs3 favorise l’homogénéité  de la quantité de mouvement de l’ensemble des élèves. De  plus, il induirait une quantité de mouvement plus élevée  chez des élèves qui affichent des performances les moins  bonnes en termes de nombre de pas. En guise d’ouverture,  nous pourrions transférer notre réflexion à d’autres sports  collectifs pratiqués couramment en milieu scolaire et  offrant aussi des possibilités d’effectifs diverses.},
      url = {http://patrinum.ch/record/269353},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.269353},
}