000267879 000__ 02762nam\a22\\\\\7\\4500 000267879 001__ 267879 000267879 005__ 20210827135652.0 000267879 006__ m 000267879 007__ c 000267879 008__ 210309s2019\\\\sz\\\\\\s\\\\\00000\fre\d 000267879 0247_ $$2doi$$a10.22005/bcu.267879 000267879 037__ $$aDISSERT 000267879 040__ $$aRNV vdhesa 000267879 041__ $$afre 000267879 049__ $$avd 000267879 1001_ $$aVolck, Candice 000267879 2451_ $$aViolence envers le personnel soignant en urgences psychiatriques$$bQuels sont les facteurs de risque et les moyens de la prévenir ?$$cCandice Volck, Gael Joye$$h[Ressource électronique]$$9fre 000267879 246_3 $$9eng 000267879 300__ $$a57 p. 000267879 336__ $$aMémoires niveau bachelor 000267879 502__ $$aHaute Ecole de Santé Vaud - HESAV$$bBachelor$$cSoins Infirmiers$$92019 000267879 520__ $$aContexte : La violence a toujours été une des préoccupations majeures de la psychiatrie (Morasz, 2002). La psychiatrie est considérée comme un lieu à haute prévalence de violence (Shield et Wilkins, 2009). Les patients souffrant de maladies mentales sont les plus à même de devenir violents (Pich et al., 2010). Ces phénomènes peuvent avoir de sérieuses conséquences sur les soignants (Roldan et al., 2013). La violence génèrerait un coût économique et humain considérable (Gadon, 2006). Objectif : Identifier les facteurs de risque et les moyens de prévenir la violence verbale et physique de patients hospitalisés en urgences psychiatriques envers le personnel soignant. Méthode : Critères d’inclusion : patients adultes (18 à 65 ans) admis en urgences psychiatriques. Type de résultats : facteurs de risque et outils/interventions. Deux bases de données ont été consultées : CINHAL et PsycINFO. Dix articles ont été inclus et analysés à l’aide de la Grille de Fortin. Les données relevées ont été classées en facteurs de risque non-modifiables, modifiables et outils. Résultats : Des facteurs de risque de violence comme le genre, l’âge, le diagnostic, le nombre d’hospitalisations, l’unité, la relation patient-soignant, les conflits ou la réactivité au stress ont été identifiés. Des interventions comme la prévision du risque, la formation du personnel, la médication involontaire, l’isolement, la contention ou la massothérapie ont cherché à réduire ces facteurs de risque. Discussion : Les résultats ont été éclairés par la théorie des relations interpersonnelles de Peplau. Rompre la relation patient-soignant pourrait engendrer de la violence. Pour préserver cette relation, des moyens existent.$$9fre 000267879 6531_ $$9fre$$ahesav TB SI 000267879 7001_ $$aJoye, Gaël 000267879 7201_ $$aLoffeier, Iris$$edir. 000267879 8564_ $$9387d2469-8a39-4aa2-8ec3-e0e5d7f138b5$$s680035$$uhttps://patrinum.ch/record/267879/files/HESAV_TB_Volck_2019.pdf 000267879 8560_ $$flaeticia.lavanchy@hesav.ch 000267879 909CO $$ooai:bcu.tind.io:267879$$pNotices_bibliographiques$$pGLOBAL_SET 000267879 981__ $$aoverwrite 000267879 983__ $$bHaute Ecole de Santé Vaud - HESAV