@article{DISSERT,
      recid = {267189},
      author = {Bosson, Melissa and Brozzoni, Killian},
      title = {Évaluation des doses aux organes en fonction des  diaphragmes pour une radiographie thoracique en  néonatologie [Ressource électronique]},
      school = {Bachelor},
      number = {DISSERT},
      pages = {39 p.},
      month = {Dec},
      abstract = {Les patients en néonatologie reçoivent fréquemment des  radiographies dans le cadre de leur hospitalisation. Cette  population de patients est particulièrement radiosensible  de par leurs organes en développement et leur longue  espérance de vie. Notre travail étudie la relation entre  l’ouverture des diaphragmes et la dose aux organes chez un  nouveau-né lors de l’acquisition d’une radiographie  thoracique. Nous comparons la surface d’irradiation de  radiographies avec une guideline définissant les limites  inféro-supérieures et latérales que devrait avoir un cliché  optimal. Une fois les données et paramètres d’acquisition  récoltés, nous avons regroupé les patients selon leur  poids, le but étant d’établir des valeurs de référence  dosimétriques par catégorie. Nous avons ensuite utilisé un  logiciel simulant les doses reçues par les différents  organes dans le champ d’irradiation primaire et aux abords  afin d’apprécier les augmentations de dose liées à la  surface d’exposition. Nos résultats ont démontré que la  surface d’irradiation moyenne, réalisée en pratique, était  45% plus grande que celle recommandée par la guideline.  Cette différence a engendré une légère augmentation de dose  aux organes pour ceux dans le champ primaire (entre 10 et  33% en moyenne) et conséquente pour ceux en bord de champ  (entre 179 et 630% en moyenne). En effet, ces derniers se  trouvaient alors directement exposés suite à une ouverture  des diaphragmes plus importante. Quant aux paramètres  d’exposition, la charge et la tension augmentent avec le  poids du patient et sont fidèles aux bonnes pratiques.  Cependant, la distance a causé problème. Bien que la  majorité des radiographies aient été faites à 1 mètre,  d’autres ont été réalisées à des distances très restreintes  s’abaissant jusqu’à 40 cm. Ceci a donc eu un impact sur le  calcul du kerma. Il serait donc utile de mettre à  disposition des techniciens en radiologie médicale (TRM)  des protocoles mieux définis. Nous avons tout de même  réussi à établir, avec nos données récoltées, des valeurs  de produit kerma-surface (PKS) de référence permettant de  donner une indication de dose adéquate par catégorie de  poids. Ces valeurs vont de 1 à 4 mGy*cm2. Nous avons ainsi  créé des NRD pour le service de notre étude, qui prend en  compte le poids du patient de façon plus spécifique que les  NRD suisses actuelles.},
      url = {http://patrinum.ch/record/267189},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.267189},
}