000267100 000__ \\\\\nam\a22\\\\\7\\4500 000267100 001__ 267100 000267100 005__ 20210304110534.0 000267100 006__ m 000267100 007__ c 000267100 008__ 201019s2019\\\\sz\\\\\\s\\\\\00000\fre\d 000267100 0247_ $$2doi$$a10.22005/bcu.267100 000267100 037__ $$aDISSERT 000267100 040__ $$aRNV vdhep- 000267100 041__ $$afre 000267100 049__ $$avd 000267100 1001_ $$aFavre, Valérie 000267100 2451_ $$aEnvisager l'amélioration de la lecture à haute voix au niveau du rythme, de l'intonation et de l'expression par la pratique musicale$$h[Ressource électronique]$$9fre 000267100 246_3 $$9eng 000267100 336__ $$aMémoires niveau bachelor 000267100 502__ $$aHaute école pédagogique du canton de Vaud$$bBachelor$$cBachelor of arts en enseignement pour les degrés préscolaire et primaire$$92019 000267100 520__ $$aCette étude tente de répondre à la question de recherche suivante : « Est-ce que la pratique musicale, en milieu scolaire, peut favoriser une progression des élèves de 8 à 10 ans au niveau de leurs capacités de lecture à haute voix, notamment en rapport au rythme, à l’intonation et à l’expression ? ». J’ai mis en place un dispositif dans deux classes : l’une d’elle me servant de groupe témoin et l’autre de groupe expérimental bénéficiant de la séquence musicale pendant 6 semaines. Afin de m’appuyer sur une base théorique solide, j’ai questionné le lien entre la musique et le langage dans la littérature. Le concept de « Musilanguage » de Brown (2000) détermine que ces deux paradigmes ont une base ancestrale commune avant de s’identifier par leurs caractéristiques individuelles. Ma recherche s’oriente au niveau du rythme impliqué par les signes de ponctuation, tout comme pour l’intonation, ainsi que l’expression dans la lecture à haute voix. Au niveau du rythme, Brunet (2016) définit qu’à l’approche d’une virgule, il faut effectuer une « faible pause ». Contrairement au point et au point d’interrogation qui impliquent un « arrêt ferme ». Pour travailler cette différence rythmique, des gestes leur ont été associés, dans le but d’un transfert des apprentissages. Les résultats montrent une volonté plus marquée du groupe expérimental à effectuer les silences propres aux signes de ponctuation, lors du post-test. Quant à l’intonation des phrases définies par Di Cristo (2016), notre hypothèse s’est confirmée. La pratique musicale, à travers les courbes mélodiques et les gestes indiquant les variations de hauteur, a permis d’améliorer l’intonation dans la lecture à haute voix du groupe expérimental entre 12% et 25%. Pour terminer, les résultats des élèves concernant l’expression de leur lecture, montre aussi une progression plus importante pour le groupe expérimental que pour le groupe témoin. Les productions sonores effectuées lors des leçons musicales semblent être favorables à l’interprétation des lectures des élèves.$$9fre 000267100 6531_ $$9fre$$aLecture à haute voix 000267100 6531_ $$9fre$$aPratique musicale 000267100 6531_ $$9fre$$aRythme 000267100 6531_ $$9fre$$aIntonation 000267100 6531_ $$9fre$$aExpression 000267100 6531_ $$9fre$$aSignes de ponctuation 000267100 7201_ $$aGuillot, Gérald$$edir. 000267100 8560_ $$fsarah.rerat@bcu.unil.ch 000267100 8564_ $$96aab0e88-6a08-4690-bfb3-7dffeb82c709$$s2467422$$uhttps://patrinum.ch/record/267100/files/md_bp_p35828_2019.pdf 000267100 909CO $$ooai:bcu.tind.io:267100$$pNotices_bibliographiques$$pGLOBAL_SET 000267100 981__ $$aoverwrite 000267100 983__ $$bHaute école pédagogique du canton de Vaud