@article{DISSERT,
      recid = {265206},
      author = {Allaz, Christelle and Jayet, Christelle},
      title = {Conscience, numération et langage : quel regard porté par  quatre enseignantes interrogées ? [Ressource électronique]},
      school = {Bachelor},
      number = {DISSERT},
      month = {May},
      abstract = {Le travail de mémoire vient clôturer nos trois années de  formation à la Haute Ecole Pédagogique. Celui-ci complète  notre formation pratique assimilée durant nos stages. Lors  de nos différents modules académiques et pendant nos  expériences sur le « terrain », nous nous sommes rendu  compte que le langage jouait un rôle essentiel dans  l’enseignement. Qu’il soit utilisé dans le domaine du  français, de la géographie ou des mathématiques, le langage  fait partie intégrante de chaque discipline. En tant que  professionnelles, nous nous devons d’utiliser un  vocabulaire adapté à l’âge des élèves et également à chaque  branche. En débutant notre recherche, nous étions curieuses  de connaître à quel point des enseignantes exerçant  actuellement dans le canton de Vaud étaient conscientes de  l’impact de leur langage, spécifiquement sur les  apprentissages numériques de leurs élèves. Nous avons  sélectionné le domaine des mathématiques afin de savoir si  les quatre professionnelles interrogées portaient une  conscience sur leurs pratiques langagières lorsqu’elles  enseignaient des notions élémentaires en mathématiques. En  effet, lors des premiers degrés de la scolarité, les  apprentissages mathématiques ne sont pas à sous-estimer ;  ils constituent le socle sur lequel se construisent des  notions essentielles et nous trouvions pertinent de savoir  si les questionnées évaluaient la portée de leurs mots sur  les apprentissages numériques de leurs jeunes élèves.  Ainsi, c’est au travers d’une étude de cas multiple que  nous avons interrogé ces quatre enseignantes, afin de  comprendre quelle conscience ces dernières avaient de  l’impact de leurs pratiques langagières sur les  apprentissages numériques de leurs élèves. Autrement dit,  nous avons cherché à savoir si notre échantillon  d’enseignantes planifiaient leur leçon du point de vue  langagier et si elles décelaient ou non l’impact de leurs  pratiques langagières sur les apprentissages de leurs  élèves. Cette étude de cas a soulevé d’autres  questionnements et a notamment abordé la dotation horaire  consacrée au langage dans la discipline « mathématiques »  de la filière du Bachelor à la HEP Vaud.},
      url = {http://patrinum.ch/record/265206},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.265206},
}