@article{DISSERT,
      recid = {244278},
      author = {Nuara, Sophie},
      title = {Le bestiaire comme tremplin à la production orale. Ou  comment amener les élèves de classe SAS (EdT) à développer  leurs connaissances du Moyen Âge et à prendre de l'aisance  en production orale ? [Ressource électronique]},
      school = {Master},
      number = {DISSERT},
      abstract = {Une séquence s’appuyant sur la littérature médiévale se  justifie après l’analyse des MER, où le Moyen Âge apparaît  dans des exercices sur le fonctionnement de la langue et,  principalement, pour observer des événements historiques  non guerriers. Un questionnaire exploratoire lié à cette  époque a été soumis à près de 100 sujets et établit  qu’adolescents et enseignants sont davantage marqués par  l’histoire de cette époque que par sa littérature. Ces deux  éléments furent le point de départ du projet : partir des  connaissances liées à l’histoire pour justifier un voyage  dans le passé et y observer un « bestiaire », où les  animaux sont utilisés pour encourager le lecteur à la  réflexion. La production orale fut choisie pour travailler  sur la littérature médiévale avec les élèves, car cela  permet de mêler plaisir et apprentissage. Pourtant, bien  que la lecture à haute voix soit une activité simple en  apparence, cela n’est pas une tâche facile, d’autant plus  pour les élèves en difficulté. La séquence mise en place  pour leur réussite se déroule en cinq modules, chacun  accompagné d’une évaluation formative. Chaque élève  travaille un passage d’un corpus composé de quatorze  extraits d’une oeuvre littéraire médiévale, présenté en  version bilingue (ancien français et français moderne).  Chaque extrait portant sur un animal différent, l’élève  devient expert de son sujet. En effet, lors de la phase de  socialisation, la lecture à des petits groupes d’enfants  est suivie d’informations sur l’animal et sur comment  celui-ci est perçu au Moyen Âge. Enfin, puisque cette tâche  finale a lieu devant des enfants, inconnus et surtout sans  lien à l’école, les élèves perçoivent le sens plus large du  projet et s’investissent avec d’autant plus de conviction  dans leur travail. Grâce aux applaudissements et aux  commentaires positifs du public, les élèves prennent  conscience de leur réussite et par conséquent une plus  confiance en eux.},
      url = {http://patrinum.ch/record/244278},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.244278},
}