000242704 000__ \\\\\nam\a22\\\\\7\\4500 000242704 001__ 242704 000242704 005__ 20210304110536.0 000242704 006__ m 000242704 007__ c 000242704 008__ 200512s2018\\\\sz\\\\\\s\\\\\00000\fre\d 000242704 0247_ $$2doi$$a10.22005/bcu.242704 000242704 037__ $$aDISSERT 000242704 040__ $$aRNV vdhep- 000242704 041__ $$afre 000242704 049__ $$avd 000242704 1001_ $$aCrettenand, Maude 000242704 2451_ $$aHarcèlement ou intimidation entre pairs et appui pédagogique en Valais$$h[Ressource électronique]$$9fre 000242704 246_3 $$9eng 000242704 336__ $$aMémoires niveau master 000242704 500__ $$aCodirigé par la Haute Ecole Pédagogique du Valais 000242704 502__ $$aHaute école pédagogique du canton de Vaud$$bMaster specialisé$$cMaster of Arts et Diplôme d’enseignement spécialisé$$92018 000242704 520__ $$aLe phénomène de harcèlement est encore beaucoup trop présent dans notre société en générale, mais plus particulièrement en classe, avec l’intimidation entre pairs. Cela touche de nombreux jeunes et peut impacter leur futur de manière durable, tant pour les cibles que les auteurs ou mêmes les témoins. Dans l’intimidation, aucune partie ne ressort gagnante. Nous avons donc décidé de nous intéresser aux élèves au bénéfice de l’appui pédagogique intégré (API), population pour laquelle il n’existe pas de recherche sur le sujet, afin de comprendre s’il existe des liens entre le fait d’être en API et le harcèlement entre pairs. Nous avons donc comparé les élèves de 5-6H avec et sans appui. Pour répondre à cette interrogation, nous avons mis en place un questionnaire qui regroupait à la fois des questions sur l’API, mais également certaines en lien avec le climat scolaire et le fait d’être victime, harceleur ou témoin. En parallèle, nous avons mené des entretiens avec deux enseignants spécialisés afin d’avoir des pistes de compréhension quant au harcèlement dans ce centre scolaire. Les résultats qui ressortent de cette analyse sont les suivants : • Il n’existe pas de différence significative entre les élèves de l’appui et leurs camarades. En effet, ils ne sont pas plus à risque que le reste de leur classe. • Nous pouvons relever les taux élevés de violences telles que les coups physiques, les moqueries, les insultes, les surnoms et les rumeurs chez les cibles et les témoins. • Le cyberharcèlement n’existe quasiment pas. Un certain nombre d’élèves n’ont pas en leur possession de smartphone ou de tablette. Cela agit donc comme un facteur protecteur. Suite à ces constats, nous pouvons émettre quelques pistes concrètes pour contribuer à réduire le harcèlement entre pairs. La direction doit être le moteur des réflexions à ce sujet tout en ayant l’adhésion du corps enseignant. De plus, ces derniers doivent être sensibilisés afin de pouvoir distinguer les situations de harcèlement de celles qui ne le sont pas. Finalement, il faut renforcer la collaboration et la communication entre les différents partenaires (enseignants, élèves, parents, directions, médiateurs, pyschologues...)$$9fre 000242704 6531_ $$9fre$$aharcèlement 000242704 6531_ $$9fre$$aintimidation entre pairs 000242704 6531_ $$9fre$$aeffet de groupe 000242704 6531_ $$9fre$$arelation triangulaire 000242704 6531_ $$9fre$$aprévention et traitement 000242704 6531_ $$9fre$$aenseignement spécialisé et appui pédagogique intégré en Valais 000242704 7201_ $$aAmez-Droz, Sophie$$edir. 000242704 8560_ $$fdelphine.rod@bcu.unil.ch 000242704 8564_ $$9df669051-8251-443a-a89b-09c460e0adfd$$s831679$$uhttps://patrinum.ch/record/242704/files/md_maes_p33251_2018.pdf 000242704 909CO $$ooai:bcu.tind.io:242704$$pNotices_bibliographiques$$pGLOBAL_SET 000242704 981__ $$aoverwrite 000242704 983__ $$bHaute école pédagogique du canton de Vaud