000242694 000__ \\\\\nam\a22\\\\\7\\4500 000242694 001__ 242694 000242694 005__ 20210304110536.0 000242694 006__ m 000242694 007__ c 000242694 008__ 200506s2018\\\\sz\\\\\\s\\\\\00000\fre\d 000242694 0247_ $$2doi$$a10.22005/bcu.242694 000242694 037__ $$aDISSERT 000242694 040__ $$aRNV vdhep- 000242694 041__ $$afre 000242694 049__ $$avd 000242694 1001_ $$aBolognese, Fanny 000242694 2451_ $$aUn texte, trois langues, la compréhension au coeur du plurilinguisme$$b"Ciao bambino, dis-moi cómo entiendes este texto?"$$h[Ressource électronique]$$9fre 000242694 246_3 $$9eng 000242694 336__ $$aMémoires niveau bachelor 000242694 502__ $$aHaute école pédagogique du canton de Vaud$$bBachelor$$cBachelor of Arts et Diplôme en enseignement pour les degrés préscolaire et primaire$$92018 000242694 520__ $$aQuels sont les processus et composantes mis en place par les élèves pour comprendre un texte dans une langue romane qui leur est a priori inconnue ? Est-il possible qu’un élève hispanophone comprenne un texte en français ou en italien (et inversement) sans l’avoir étudié ? C’est ce que nous avons tenté de savoir tout au long de notre étude réalisée dans quatre classes de 6ème et 7ème Harmos. Cette ingénierie didactique prend racine sur deux contextes : en Espagne (Valence) et en Suisse (C. et R.). C’est pourquoi nous avons mis un en place un dispositif didactique en trois langues romanes. Tout d’abord, nous avons sélectionné un album de jeunesse initialement en valencien que nous avons traduit en castillan, en français et en italien. Nous avons soumis aux élèves l’histoire dans une langue qu’ils ne connaissent pas, afin qu’ils réalisent individuellement une tâche de compréhension en lecture. Enfin, nous avons lu oralement le texte dans une autre langue de manière collective. Les résultats obtenus en classe ont fait l’objet de notre analyse. Nous avons pu en tirer le constat suivant : oui, les élèves peuvent comprendre un texte dans une langue qu’ils ne connaissent pas a priori, en mobilisant des compétences. Nous verrons comment le contexte et les répertoires langagiers des élèves ont une influence dans notre étude. Au regard des lectures effectuées sur l’intercompréhension et le plurilinguisme et en nous basant sur notre propre expérience, nous pouvons aujourd’hui affirmer que la connaissance d’une langue est un réel atout dans la compréhension d’une nouvelle langue. Les résultats obtenus sont très intéressants car ils proposent humblement de compléter le modèle de compréhension en lecture de Giasson (2012). Nos constats constituent des pistes d’actions fructueuses pour notre pratique professionnelle.$$9fre 000242694 6531_ $$9fre$$aintercompréhension 000242694 6531_ $$9fre$$aplurilinguisme 000242694 6531_ $$9fre$$acompréhension 000242694 6531_ $$9fre$$arépertoire langagier 000242694 6531_ $$9fre$$aéveil aux langues 000242694 6531_ $$9fre$$alangues romanes 000242694 7001_ $$aBorda Calisaya, Noélia 000242694 7201_ $$aDeschoux, Carole-Anne$$edir. 000242694 8560_ $$fdelphine.rod@bcu.unil.ch 000242694 8564_ $$9153d2288-2b0a-4905-93c2-c3eded65a4c7$$s8080597$$uhttps://patrinum.ch/record/242694/files/md_bp_p32026_p32364_2018.pdf 000242694 909CO $$ooai:bcu.tind.io:242694$$pNotices_bibliographiques$$pGLOBAL_SET 000242694 981__ $$aoverwrite 000242694 983__ $$bHaute école pédagogique du canton de Vaud