Go to main content
000242036 000__ \\\\\nam\a22\\\\\7\\4500
000242036 001__ 242036
000242036 005__ 20210304110531.0
000242036 006__ m
000242036 007__ c
000242036 008__ 200429s2018\\\\sz\\\\\\s\\\\\00000\fre\d
000242036 0247_ $$2doi$$a10.22005/bcu.242036
000242036 037__ $$aDISSERT
000242036 040__ $$aRNV vdhep-
000242036 041__ $$afre
000242036 049__ $$avd
000242036 1001_ $$aRappazzo, Letizia
000242036 2451_ $$aGestion de classe: quels outils à disposition pour réguler les comportements répréhensibles ?$$h[Ressource électronique]$$9fre
000242036 246_3 $$9eng
000242036 336__ $$aMémoires niveau bachelor
000242036 502__ $$aHaute école pédagogique du canton de Vaud$$bBachelor$$cBachelor en enseignement pour les degrés préscolaire et primaire$$92018
000242036 520__ $$aCe qui est à retenir de la Loi sur l’Enseignement Obligatoire (LEO) relative aux sanctions est que « les sanctions doivent être respectueuses de la dignité de l’élève » (article 120 alinéa 3). Ce sont des actions préventives ou, le cas échéant, des sanctions éducatives qu’il faudrait instaurer. Les prescriptions officielles sont ainsi, mais qu’en est-il des pratiques sur le terrain ? Les punitions sont-elles encore employées ? Ce mémoire porte sur les pratiques disciplinaires des enseignant-e-s au primaire (cycle 2), ainsi que sur les raisons qui fondent l’utilisation de divers moyens de régulation des comportements d’élèves. Les auteurs témoignent d’une réflexion sur l’utilisation de certaines pratiques disciplinaires en lien avec la gestion de classe, pouvant être définies comme l’action de « penser l’organisation qui surplombe et rend possible les interactions didactiques » (Perrenoud, 1999). Ainsi, les auteurs élaborent une problématique concernant la gestion de classe en ces mots : « Les pratiques déclarées des enseignant-e-s concernant la gestion de la discipline dans leur classe du cycle 2 sont-elles en adéquation avec leurs pratiques réelles ? Ces pratiques sont-elles respectueuses des élèves et du cadre prescrit ? ». C’est au moyen d’observations et d’entretiens semi-dirigés avec deux enseignantes de la Côte vaudoise, que cette étude a été menée. Au vu de la méthodologie utilisée, ce travail se situe donc au coeur de la pratique enseignante. Les hypothèses formulées étaient que les pratiques déclarées des enseignant-e-s pouvaient varier de celles observées en classe. Cela étant dit, les pratiques déclarées pourraient être biaisées par les contraintes sociales ou par les réalités du terrain, dans le sens où l’enseignant-e pourrait adapter son discours afin d’être plus proche des « bonnes » pratiques, bien que les pratiques réelles pourraient rester les mêmes. À la suite des analyses, il n’a pas été observé de différences significatives entre les pratiques réelles et les pratiques déclarées. En revanche, il a été constaté qu’une confusion subsiste quant aux notions de sanctions et de punitions.$$9fre
000242036 6531_ $$9fre$$asanction
000242036 6531_ $$9fre$$apunition
000242036 6531_ $$9fre$$amesures préventives
000242036 6531_ $$9fre$$apratiques disciplinaires
000242036 6531_ $$9fre$$agestion de classe
000242036 6531_ $$9fre$$arègles de vie
000242036 7001_ $$aNegro, Alice
000242036 7201_ $$aTinembart, Sylviane$$edir.
000242036 8560_ $$fclaude.borgeaud@bcu.unil.ch
000242036 8564_ $$919f9fa97-94cf-47f9-96e6-d99bf825eda2$$s1275289$$uhttps://patrinum.ch/record/242036/files/md_bp_p32243_p32274_2018.pdf
000242036 909CO $$ooai:bcu.tind.io:242036$$pNotices_bibliographiques$$pGLOBAL_SET
000242036 981__ $$aoverwrite
000242036 983__ $$bHaute école pédagogique du canton de Vaud