@article{DISSERT,
      recid = {242036},
      author = {Rappazzo, Letizia and Negro, Alice},
      title = {Gestion de classe: quels outils à disposition pour réguler  les comportements répréhensibles ? [Ressource  électronique]},
      school = {Bachelor},
      number = {DISSERT},
      month = {May},
      abstract = {Ce qui est à retenir de la Loi sur l’Enseignement  Obligatoire (LEO) relative aux sanctions est que « les  sanctions doivent être respectueuses de la dignité de  l’élève » (article 120 alinéa 3). Ce sont des actions  préventives ou, le cas échéant, des sanctions éducatives  qu’il faudrait instaurer. Les prescriptions officielles  sont ainsi, mais qu’en est-il des pratiques sur le terrain  ? Les punitions sont-elles encore employées ? Ce mémoire  porte sur les pratiques disciplinaires des enseignant-e-s  au primaire (cycle 2), ainsi que sur les raisons qui  fondent l’utilisation de divers moyens de régulation des  comportements d’élèves. Les auteurs témoignent d’une  réflexion sur l’utilisation de certaines pratiques  disciplinaires en lien avec la gestion de classe, pouvant  être définies comme l’action de « penser l’organisation qui  surplombe et rend possible les interactions didactiques »  (Perrenoud, 1999). Ainsi, les auteurs élaborent une  problématique concernant la gestion de classe en ces mots :  « Les pratiques déclarées des enseignant-e-s concernant la  gestion de la discipline dans leur classe du cycle 2  sont-elles en adéquation avec leurs pratiques réelles ? Ces  pratiques sont-elles respectueuses des élèves et du cadre  prescrit ? ». C’est au moyen d’observations et d’entretiens  semi-dirigés avec deux enseignantes de la Côte vaudoise,  que cette étude a été menée. Au vu de la méthodologie  utilisée, ce travail se situe donc au coeur de la pratique  enseignante. Les hypothèses formulées étaient que les  pratiques déclarées des enseignant-e-s pouvaient varier de  celles observées en classe. Cela étant dit, les pratiques  déclarées pourraient être biaisées par les contraintes  sociales ou par les réalités du terrain, dans le sens où  l’enseignant-e pourrait adapter son discours afin d’être  plus proche des « bonnes » pratiques, bien que les  pratiques réelles pourraient rester les mêmes. À la suite  des analyses, il n’a pas été observé de différences  significatives entre les pratiques réelles et les pratiques  déclarées. En revanche, il a été constaté qu’une confusion  subsiste quant aux notions de sanctions et de punitions.},
      url = {http://patrinum.ch/record/242036},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.242036},
}