@article{DISSERT,
      recid = {241933},
      author = {Castrucci, Nathalie},
      title = {Un chien en classe : lubie ou stimulation socio-affective  ?  Quelles sont les perceptions de quatre enseignants du  cycle I ? [Ressource électronique]},
      school = {Bachelor},
      number = {DISSERT},
      month = {May},
      abstract = {La dichotomie entre cognition et affectivité a longtemps  perduré dans la littérature scientifique et philosophique,  tout comme dans le domaine éducatif. Toutefois, de  nombreuses recherches actuelles dans le domaine de la  psychologie soutiennent une vision plus intégrative dans  laquelle le vécu émotionnel et les capacités  intellectuelles s’influencent mutuellement. Partant de ce  constat, si le sens du terme éduquer se réfère au  développement de la personne dans son entièreté, l’évidence  de l’enjeu de la prise en compte de la dimension  socio-affective dans le contexte scolaire paraît  indéniable. Seulement, force est de constater que les  programmes sont chargés, que les échéances tombent les unes  après les autres, que les différentes casquettes que doit  porter l'enseignant sont multiples et que, bien souvent, le  temps pour stimuler de manière active et soignée le  développement socio-affectif de l'enfant, pourtant  essentiel au bon apprentissage, manque. Et si la pédagogie  assistée par un animal devenait l'outil par excellence ? Et  si le chien, le meilleur ami de l'homme, pouvait prétendre  à cette mission ? En effet, l'animal rassure, l'animal  apaise ; l'animal fait rire, l'animal console. Il  communique, il guide ; il accueille, il renforce, il  valorise. Parmi eux, le chien a la particularité d'être un  animal très sociable qui a une confiance en l'homme sans  limite, un amour et une affection inconditionnels. Aux  Etats-Unis, en Allemagne et même en Suisse alémanique, il  n'est pas insolite de trouver, aux côtés des enseignants,  ce genre d'animal à quatre pattes. Mais qu'en pensent des  enseignant·e·s du Cycle 1 dans le canton de Vaud ? Comment  s'y prennent-ils·elles pour développer la dimension  socio-affective de leurs élèves ? Seraient-ils·elles  disposé·e·s à embrasser un tel projet ? Sur quatre  enseignantes interrogées au moyen d'entretiens  semi-dirigés, il ressort que, bien que l'initiative leur  paraisse séduisante, les contraintes qui l'accompagnent ne  leur donneraient pas encore envie de tenter l'expérience si  la direction de leur école le leur permettait.},
      url = {http://patrinum.ch/record/241933},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.241933},
}