@article{Progin:17777,
      recid = {17777},
      author = {Progin, Noémie and Zbinden, Coralie},
      title = {La qualité des clichés en mammographie est-elle  directement influencée par la patiente ? / Noémie Progin,  Coralie Zbinden},
      pages = {43 p.},
      abstract = {Dans la pratique, nous entendons souvent, de la part des  TRM diplômés, que les patientes influencent grandement le  positionnement lors des examens mammographiques et, par  conséquent, la qualité du cliché. En effet, les aspects  morphologiques, (BMI, taille, volume du sein),  psychologiques (première mammographie, stress) et  physiologiques (douleur) de la patiente au moment de  l’examen sont étroitement liés à la réussite des clichés.  Le but de ce travail est d’identifier les critères liés à  la patiente qui modifient la qualité du cliché  mammographique afin de pouvoir, nous l’espérons, améliorer  les pratiques lors de la réalisation de ces examens et,  ainsi, mieux atteindre les critères de qualité PGMI  (Perfect, Good, Moderately Good, Inadequate). Pour  effectuer ce travail, nous avons réalisé une enquête de  terrain, en distribuant 300 questionnaires dans deux  services de radiologie. Après avoir récupéré les  questionnaires contenant des informations sur la patiente,  nous avons évalué les clichés grâce à la grille d’analyse  PGMI et répertorié ces résultats dans l’application  Muchacha®. Puis, nous avons croisé ces résultats avec  différentes caractéristiques d’ordre morphologique et  psychologique des patientes. Globalement, sur l’ensemble  des clichés crânio-caudaux, 78% ont obtenu la note «  Moderately Good». Pour les clichés médio-latéraux obliques,  la note moyenne était « Moderately Good » dans 91% des cas.  Les résultats des croisements montrent que les  caractéristiques morphologiques ont une forte influence sur  la qualité des clichés. Ainsi, le BMI, la taille de la  patiente, le volume du sein et sa densité sont les facteurs  morphologiques qui peuvent influencer la qualité du cliché.   Grâce à une relation de confiance maîtrisée, nous avons pu  déduire que l’aspect psychologique n’est, lui, pas un  critère qui influence fortement la qualité du cliché.},
      url = {http://patrinum.ch/record/17777},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.17777},
}