TY  - GEN
AB  - Notre question de recherche est la suivante : quels écarts est-il possible de mettre en évidence entre le travail réel et le travail prescrit dans deux classes régulières du CYT concernant les élèves à troubles du comportement ? L’hypothèse que nous avons formulée était que les enseignants sont peu au courant des prescriptions et prennent les mesures qu’ils jugent les plus efficaces pour le bien-être de l’enfant, mais surtout pour le bon fonctionnement de la classe, tout en regrettant de ne pas avoir plus d’outils ou de ressources pour faire face à ce genre de situation. Nous avons élaboré un cadre théorique qui abordait les thématiques suivantes : l’intégration, les troubles du comportement, les écarts entre le travail prescrit et le travail réel et les prescriptions concernant les élèves à troubles du comportement. Notre méthode de recherche a été de faire des entretiens avec un enseignant spécialisé, un membre de la direction et deux enseignants dans deux collèges différents, soit un corpus de huit entretiens au final que nous avons analysés en regard du cadre théorique. Les écarts entre le travail prescrit et réel découlent principalement du fait que les prescriptions ne sont pas adaptées aux besoins des élèves à troubles du comportement. De plus, nous avons relevé que lorsque les enseignants connaissaient et pouvaient décrire les manifestations du trouble dont souffrait l’élève, ils proposaient des pistes qui leur semblaient plus efficaces. Bien qu’ils soient globalement favorables à l’intégration, ils craignent qu’il y ait trop d’élèves en difficultés dans une classe et regrettent un manque de temps et de moyens, principalement un manque d’intervenants externes. Cette thématique s’insère dans notre parcours professionnel, car nous aurons très certainement des élèves à troubles du comportement dans nos futures classes. Ce mémoire nous a permis de nous préparer à mieux intégrer ces enfants.
AU  - Fleury, Aurore
AU  - Gfeller, César
DO  - 10.22005/bcu.17612
DO  - doi
ED  - Amiguet, Mauro
ED  - Dir.
ID  - 17612
KW  - Intégration 
KW  -  Troubles du comportement 
KW  -  Travail réel 
KW  -  Travail prescrit 
KW  -  Lois 
et règlements 
KW  -  CYT
L1  - https://patrinum.ch/record/17612/files/mp_bp_p16461_p16718_2010.pdf
L2  - https://patrinum.ch/record/17612/files/mp_bp_p16461_p16718_2010.pdf
L4  - https://patrinum.ch/record/17612/files/mp_bp_p16461_p16718_2010.pdf
LA  - fre
LK  - https://patrinum.ch/record/17612/files/mp_bp_p16461_p16718_2010.pdf
N1  - Mémoire professionnel, Bachelor of arts en enseignement pour 
les degrés préscolaire et primaire
N2  - Notre question de recherche est la suivante : quels écarts est-il possible de mettre en évidence entre le travail réel et le travail prescrit dans deux classes régulières du CYT concernant les élèves à troubles du comportement ? L’hypothèse que nous avons formulée était que les enseignants sont peu au courant des prescriptions et prennent les mesures qu’ils jugent les plus efficaces pour le bien-être de l’enfant, mais surtout pour le bon fonctionnement de la classe, tout en regrettant de ne pas avoir plus d’outils ou de ressources pour faire face à ce genre de situation. Nous avons élaboré un cadre théorique qui abordait les thématiques suivantes : l’intégration, les troubles du comportement, les écarts entre le travail prescrit et le travail réel et les prescriptions concernant les élèves à troubles du comportement. Notre méthode de recherche a été de faire des entretiens avec un enseignant spécialisé, un membre de la direction et deux enseignants dans deux collèges différents, soit un corpus de huit entretiens au final que nous avons analysés en regard du cadre théorique. Les écarts entre le travail prescrit et réel découlent principalement du fait que les prescriptions ne sont pas adaptées aux besoins des élèves à troubles du comportement. De plus, nous avons relevé que lorsque les enseignants connaissaient et pouvaient décrire les manifestations du trouble dont souffrait l’élève, ils proposaient des pistes qui leur semblaient plus efficaces. Bien qu’ils soient globalement favorables à l’intégration, ils craignent qu’il y ait trop d’élèves en difficultés dans une classe et regrettent un manque de temps et de moyens, principalement un manque d’intervenants externes. Cette thématique s’insère dans notre parcours professionnel, car nous aurons très certainement des élèves à troubles du comportement dans nos futures classes. Ce mémoire nous a permis de nous préparer à mieux intégrer ces enfants.
T1  - Intégrer des élèves à troubles du comportementle cas de deux classes du CYT
TI  - Intégrer des élèves à troubles du comportementle cas de deux classes du CYT
UR  - https://patrinum.ch/record/17612/files/mp_bp_p16461_p16718_2010.pdf
ER  -