@article{Panchaud:17607,
      recid = {17607},
      author = {Panchaud, Claudine},
      title = {Ça veut dire quoi tohu-bohu ? Expliquer des mots au CYP1  Comment faire pour que les élèves retiennent une  définition?},
      pages = {109 p.},
      note = {Bachelor of arts en enseignement pour les degrés  préscolaire et 
primaire},
      abstract = {A l’heure de débuter leur scolarité, les enfants ont un  bagage linguistique composé principalement de mots entendus  dans leur  environnement.  Ce vocabulaire compris ou passif  – les mots que chacun connait, reconnait, est capable de  lire – apparaît beaucoup plus  développé et riche que le  vocabulaire produit ou actif – les mots que chacun utilise  à bon escient pour s’exprimer à l’oral et à  l’écrit.   Durant les premières années primaires, les élèves  approfondissent rapidement leur vocabulaire grâce aux flux  de mots  nouveaux approchés dans le cadre de la lecture et  de l’écriture. Les élèves deviennent des lecteurs accomplis  lorsqu’ils  comprennent le sens des mots.  Lorsque des  nouveaux mots sont transmis aux élèves par l’enseignant, ce  dernier doit en faire un usage régulier et inviter les   élèves à s’en servir également, que ce soit dans des  lectures, des travaux écrits ou leurs discussions.  A ce  stade, il est essentiel de pratiquer les mots nouveaux  jusqu’à la familiarisation, moment où les élèves y sont  habitués et  sont capables de les introduire - consciemment  ou non - dans leurs conversations. L’utilisation active est  la solution la plus  probante pour enrichir son  vocabulaire, bien au-delà de l’écoute passive de nouveaux  mots et de leur signification contextuelle.  Dans cette  recherche, quelques activités simples ne demandant pas une  grande préparation sont expérimentées. Le but  premier est  de travailler sur les définitions de mots que les élèves ne  comprennent pas, et d’améliorer la mémorisation de   celles-ci, afin que ces mots ne soient pas expliqués « pour  rien » par l’enseignant. Les élèves de deux classes sont  interrogés lors d’un prétest et d’un posttest. Les  séquences d’enseignement ne sont menées  que dans la classe  d’expérience, pour permettre une comparaison des résultats  avec une classe témoin. Ces derniers sont  analysés  quantitativement et qualitativement. Quelques parcours  d’élèves font l’objet d’une analyse plus approfondie.},
      url = {http://patrinum.ch/record/17607},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.17607},
}