@article{Gygax:17603,
      recid = {17603},
      author = {Gygax, Florie and Maillefer, Nicole},
      title = {Enseignants et psychologues mêmes attentes ?},
      pages = {55 f.},
      note = {Mémoire professionnel, Bachelor of arts en enseignement  pour 
les degrés préscolaire et primaire},
      abstract = {Notre travail de mémoire professionnel nous a été inspiré  par le travail de licence d’Andenmatten et Pasca  (2006). A  la fin de leur travail, ces deux étudiantes affirment avoir  constaté des liens complexes entre les  enseignants et les  psychologues. Une de leurs questions à ce sujet restant en  suspens à la fin de leur  recherche, aurait pu être posée  aux enseignants et aux psychologues scolaires. La question  qu’elles ont  regretté ne pas avoir posée, et qui nous a  particulièrement interpellée est la suivante : “Que  pensez-vous que  l’autre attende de votre part ?”. Celle-ci  ayant éveillée notre curiosité, nous avons décidé  d’effectuer notre travail  de recherche sur les attentes de  ces deux partenaires. Notre question de recherche est alors  la suivante :  qu’est-ce que les psychologues pensent que  les enseignants attendent d’eux et vice - versa ? Nous  avons émis  l’hypothèse que si ces attentes étaient plus  claires de part et d’autre, la relation qu’entretiennent  ces deux  acteurs de l’école en serait facilitée. Plusieurs  auteurs nous ont permis d’enrichir notre recherche ainsi  que la  distribution de questionnaires à vingt-sept  enseignants exerçant du CIN au CYT et deux psychologues  scolaires.  Pierre Marc (1977) affirme que les relations  entre ces deux professionnels n’ont pas toujours été  faciles, et bien  qu’elles se soient améliorées, il peut  encore y a voir des tensions. Aussi, Dominique Guichard  (2006) soulève un  problème d’attente de la part des  enseignants envers le psychologue scolaire. Il constate que  les enseignants  veulent souvent avoir un retour de la  séance passée avec l’enfant. Bien souvent le retour n’est  pas identique aux  attentes de l’enseignant, la situation  peut alors être embarrassante et nuire à la collaboration  des deux acteurs.  Nous avons pu constater par notre  recherche que les enseignants sont de manière générale  satisfaits du travail  effectué par le psychologue, mais  qu’il y a toutefois des pistes d’améliorations proposées  par les enseignants.  Nous avons été très surprises des  résultats car nous pensions que les enseignants et les  psychologues  scolaires allaient être moins satisfaits du  travail et de la relation établie. Ainsi, nous avons pu  constater que notre  hypothèse a été émise sur de faux  aprioris. Par ce travail, nous avons pu constater que ces  relations sont  satisfaisantes pour l’un et l’autre des  protagonistes. Cependant, malgré ce constat positif, les  deux intervenants  proposent des pistes d’amélioration et  jugent que les non-dits peuvent entraver la relation et la  collaboration.},
      url = {http://patrinum.ch/record/17603},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.17603},
}