@article{Nicolas:17530,
      recid = {17530},
      author = {Nicolas, Louis},
      title = {Quelle place laissée à la physique des particules dans  l'enseignement gymnasial ?},
      pages = {55 p.},
      note = {Mémoire professionnel, Diplôme d'enseignement pour le  degré 
secondaire II},
      abstract = {Les plans d’études vaudois pour la physique au gymnase  n’abordent que  trop rarement la physique moderne. Le  problème se retrouve aussi hors du  canton. C’est comme si,  du point de vue gymnasial, la recherche scientifique  s’était arrêtée en 1865 avec l’écriture des lois de  Maxwell.  Certains enseignants tentent bien quelques  incursions dans les sujets récents de recherche  (c’est-à-dire des sujets de physique du XXème siècle,  relativité d’Einstein, physique quantique ou  astrophysique), mais c’est bien trop souvent comme  bouche-trou, en fin d’année ou entre deux sujets, que c’est  fait. Il y a deux raisons à ceci : le programme est chargé  et ne propose pas vraiment de physique moderne, et les  élèves ont de grandes difficultés avec les mathématiques,  présentes à un niveau si technique dans les sciences  modernes.  Ce mémoire professionnel tente de répondre à ce  manque en étudiant une  facette particulière de la physique  moderne : la physique des particules. La  première question  posée est de savoir à quel niveau ce genre de matière   pourrait être traité. Il y a en effet une certaine  contradiction d’intérêts entre  la proximité aux examens et  le bagage scientifique que les élèves possèdent. Le  problème de l’enseignement de cette science au gymnase est  abordé de trois côtés différents. Premièrement, au niveau  théorique, il est montré qu’un certain nombre de sujets  peuvent être abordés au gymnase, sans forcément rester  uniquement au niveau phénoménologique, mais en présentant  une théorie édulcorée des éléments les plus techniques.  Deuxièmement, la partie pratique est survolée, où il est  montré, et c’est l’un des désavantages de l’étude de tels  sujets au gymnase, que peu d’expériences pourraient être  proposées dans le cadres des séances de travaux pratiques.  Finalement, des activités extrascolaires sont présentées,  avec en particulier la visite du CERN, près de Genève, le  centre mondial de la physique des particules.},
      url = {http://patrinum.ch/record/17530},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.17530},
}