@article{Verhagen:17522,
      recid = {17522},
      author = {Verhagen, Huub},
      title = {Démarche hypothético-déductive étude comparative des  travaux pratiques de physique au Gymnase d'Yverdon},
      pages = {26 p.},
      note = {Mémoire professionnel, Diplôme d'enseignement pour le  degré 
secondaire II},
      abstract = {Les enseignants en physique doivent trouver des moyens  pour améliorer  leur enseignement afin de contrer l’à  priori négatif lié à cette matière et de  créer plus  d’intérêt pour les sciences parmi les élèves.  Une des  pistes prometteuses pour un enseignement plus motivant est   l’introduction d’une gestion des travaux pratiques qui  donne plus  d’autonomie aux élèves et qui leur demande de  s’impliquer davantage.  Dans la littérature, cette méthode  est appelé « démarche hypothético- déductive » ou «  démarche d’investigation ».  La recherche décrite dans ce  mémoire a pour objectif d’apporter des  arguments dans le  débat sur l’utilité d’une telle démarche. Dans ce but,   deux méthodes de gestion des travaux pratiques ont été  comparées, avec  le pendule simple comme objet d’étude. Une  méthode, dite « démarche  guidée », était de nature  traditionnelle avec un protocole bien défini qui  devait  être reproduit par les élèves. L’autre méthode, dite «  démarche libre  », fixait seulement un but à atteindre et  demandait aux élèves de définir leur  propre protocole et  expérience.  Cinq classes de première année du Gymnase  d’Yverdon, 99 élèves au  total, ont été impliquées dans  cette recherche. Chaque classe consistait en  deux groupes,  l’un travaillant selon la « démarche libre », l’autre selon  la «  démarche guidée ».  Le déroulement des travaux  pratiques a permis d’obtenir des impressions  qualitatives  sur le travail des élèves. Deux questionnaires ont permis   d’obtenir des données sur (i) l’appréciation que les élèves  ont eu de la  méthodologie utilisée et (ii) les acquis des  élèves quelques semaines après  leur TP.  L’analyse de ces  données ne montre pas de différence significative au   niveau des acquis entre les deux démarches, ni au niveau  des savoir ni au  niveau du savoir-faire. Quant à  l’appréciation par les élèves, la « démarche  libre » est  stimulante pour certains élèves alors que d’autres élèves  s’y  retrouvent plutôt perdus voir démotivés. Il n’y a donc  pas une nette  préférence par l’une des deux méthodes.  Ce  résultat décevant doit être interprété dans le contexte  spécifique de  cette recherche avec ces multiples limites,  notamment le peu de temps  donné aux élèves pour se  familiariser à la « démarche libre ». Par  conséquent, des  travaux plus approfondis seraient nécessaires afin   d’affiner ces conclusions.},
      url = {http://patrinum.ch/record/17522},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.17522},
}