TY  - GEN
AB  - Ce mémoire traite du rapport au savoir dans les écoles  professionnelles, à  travers l’exemple de quatre classes de l’Ecole professionnelle  commerciale  de Lausanne (EPCL). A l’aide d’une démarche empirique (par des bilans  de  savoir sous forme de questionnaires), j’ai tenté de comprendre  comment  les apprentis percevaient et valorisaient les savoirs enseignés à l’école  et en particulier dans des disciplines de culture générale (avec ici le cas  de  l’anglais et du français).  En premier lieu, il s’agit de comprendre quels sont les enjeux posés par  la  situation (pré)professionnelle des apprentis et quelle influence ces  conditions peuvent exercer sur leur façon de concevoir l’école et les  savoirs scolaires. Pour ce faire, j’ai travaillé sur le contexte  l’apprentissage  et des écoles professionnelles en Suisse et j’ai utilisé les recherches  menées dans des contextes (en partie) comparables par différents  auteurs  qui se sont intéressés au concept de rapport au savoir (Charlot,  Rochex,  Altet).  Ainsi, à l’aide de ce cadre théorique, j’ai tenté de comprendre quels  étaient  les enjeux chez les apprentis aux niveaux identitaire, disciplinaire et des  tâches avec l’idée de mieux pouvoir appréhender la nature des  pressions  qui peuvent peser sur les apprentis et leurs apprentissages.  Du point de vue de mon enseignement, cela m’a aussi amené à réfléchir  à  mes pratiques dans ce contexte particulier et à la nature du rapport au  savoir que je devais privilégier chez mes élèves, sachant qu’un rapport  instrumental au savoir peut paraître légitime dans le cas de la formation  professionnelle (pouvoir utiliser dans la pratique immédiate des savoirs  « utiles ») mais qu’il est susceptible de mener à un échec de l’élève sur  le  moyen ou le long terme ; la question étant de savoir comment réussir à  intéresser les élèves au-delà de leurs besoins immédiats pour faciliter  une  assimilation pérenne des savoirs.
AU  - Howald, Mathias
DO  - 10.22005/bcu.17501
DO  - doi
ED  - Clerc-Georgy, Anne
ED  - Dir.
ID  - 17501
KW  - Rapport 
KW  -  Savoir 
KW  -  Ecoles 
KW  -  Professionnelles 
KW  -  Apprentissage 
KW  -  Suisse
L1  - https://patrinum.ch/record/17501/files/mp_ms2_p18655_2010.pdf
L2  - https://patrinum.ch/record/17501/files/mp_ms2_p18655_2010.pdf
L4  - https://patrinum.ch/record/17501/files/mp_ms2_p18655_2010.pdf
LA  - fre
LK  - https://patrinum.ch/record/17501/files/mp_ms2_p18655_2010.pdf
N1  - Mémoire professionnel, Diplôme d'enseignement pour le degré 
secondaire II
N2  - Ce mémoire traite du rapport au savoir dans les écoles  professionnelles, à  travers l’exemple de quatre classes de l’Ecole professionnelle  commerciale  de Lausanne (EPCL). A l’aide d’une démarche empirique (par des bilans  de  savoir sous forme de questionnaires), j’ai tenté de comprendre  comment  les apprentis percevaient et valorisaient les savoirs enseignés à l’école  et en particulier dans des disciplines de culture générale (avec ici le cas  de  l’anglais et du français).  En premier lieu, il s’agit de comprendre quels sont les enjeux posés par  la  situation (pré)professionnelle des apprentis et quelle influence ces  conditions peuvent exercer sur leur façon de concevoir l’école et les  savoirs scolaires. Pour ce faire, j’ai travaillé sur le contexte  l’apprentissage  et des écoles professionnelles en Suisse et j’ai utilisé les recherches  menées dans des contextes (en partie) comparables par différents  auteurs  qui se sont intéressés au concept de rapport au savoir (Charlot,  Rochex,  Altet).  Ainsi, à l’aide de ce cadre théorique, j’ai tenté de comprendre quels  étaient  les enjeux chez les apprentis aux niveaux identitaire, disciplinaire et des  tâches avec l’idée de mieux pouvoir appréhender la nature des  pressions  qui peuvent peser sur les apprentis et leurs apprentissages.  Du point de vue de mon enseignement, cela m’a aussi amené à réfléchir  à  mes pratiques dans ce contexte particulier et à la nature du rapport au  savoir que je devais privilégier chez mes élèves, sachant qu’un rapport  instrumental au savoir peut paraître légitime dans le cas de la formation  professionnelle (pouvoir utiliser dans la pratique immédiate des savoirs  « utiles ») mais qu’il est susceptible de mener à un échec de l’élève sur  le  moyen ou le long terme ; la question étant de savoir comment réussir à  intéresser les élèves au-delà de leurs besoins immédiats pour faciliter  une  assimilation pérenne des savoirs.
T1  - Apprentissage et apprentissagesle rapport au savoir dans les écoles professionnelles en Suisse : le cas de quatre classes de l'Ecole professionnelle commerciale de Lausanne (EPCL)
TI  - Apprentissage et apprentissagesle rapport au savoir dans les écoles professionnelles en Suisse : le cas de quatre classes de l'Ecole professionnelle commerciale de Lausanne (EPCL)
UR  - https://patrinum.ch/record/17501/files/mp_ms2_p18655_2010.pdf
ER  -