@article{Dondénaz:17439,
      recid = {17439},
      author = {Dondénaz, Florence},
      title = {"Pour faire la paix, et si on contait ?" expérimentation  d'un démarche d'apprentissage de compétences relationnelles  basées sur les contes},
      pages = {85 p.},
      note = {Mémoire professionnel, Bachelor of arts en enseignement  pour les degrés préscolaire et primaire},
      abstract = {De nos jours, de plus en plus d’enseignants semblent se  plaindre de classes dites difficiles ; classes dans  lesquelles les élèves font usage de violence, tant verbale  que physique, créant petit à petit des climats peu propices  à une dynamique d’apprentissages scolaires et sociaux.  C’est pourquoi il paraît important de donner aux enfants  d’aujourd’hui des outils pour réapprendre à communiquer.  Aujourd’hui les moyens de communication se multiplient, se  médiatisent mais ne semblent pas pour autant améliorer les  relations interpersonnelles. Au contraire, on constaterait  plutôt, à l’inverse, que cette multiplication des voies de   communication embrouille les individus, leur rendant la  tâche plus ardue quand il s’agit de parler et d’écouter  leurs semblables. L’école n’échappe pas à ce phénomène et  est peut-être même l’un des premiers endroits où l’on peut  constater ce genre de difficultés communicationnelles.   Voilà d’où nait l’envie d’expérimenter une approche  d’apprentissage de gestion positive des conflits au travers  du conte, afin également de redonner sa valeur à une  tradition orale qui s’est perdue au cours du  temps. « Pour  faire la paix : et si on contait » est une démarche  s’inscrivant dans un cadre de recherche-action lui  permettant donc d’évoluer et d’être expérimentée en  fonction du contexte scolaire dans lequel je me suis  trouvée en stage.  L’objectif fondamental de ce mémoire  professionnel est de construire une approche qui  permettrait aux élèves d’apprendre à mieux gérer les  conflits pouvant survenir en classe. Il est également  l’occasion de son  expérimentation en ce même lieu pour  pouvoir observer les apports et les limites de l’emploi de  contes dans la scolarité et dans l’apprentissage de  compétences relationnelles.  « Conter, c’est rendre les  enfants d’aujourd’hui plus humains pour ceux de demain. »},
      url = {http://patrinum.ch/record/17439},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.17439},
}