@article{Imboden:17240,
      recid = {17240},
      author = {Imboden, Fanny and Marcuard, Virginie},
      title = {Dans quelle mesure l'évaluation peut-elle être une source  d'anxiété chez les élèves de 1P et 2P ?},
      pages = {62 f.},
      note = {Mémoire professionnel, Bachelor of arts en enseignement  pour 
les degrés préscolaire et primaire},
      abstract = {Cette recherche a pour but de mesurer le degré d’anxiété  des élèves  du 1er cycle primaire ainsi que d’identifier  les représentations que ces  derniers ont de l’évaluation ;  sa fonction mais aussi les conséquences  que celle-ci  implique. Pour ce faire, nous nous sommes basées sur des   études abordant le thème de l’anxiété. Ce sujet ayant été  davantage  étudié par des chercheurs anglo-saxons, ce sont  des revues  principalement américaines que nous avons  consultées. En outre, peu  d’études ont été réalisées au  sujet des jeunes enfants. Nous avons  également fait un  bref historique de l’évaluation en Suisse romande.  Cette  étude se base donc sur une source de l’anxiété qui est  celle liée  à l’école et particulièrement à l’évaluation.  La littérature parle d’anxiété  aux tests. Afin de réaliser  cette recherche, nous avons tout d’abord fait un  entretien  collectif avec notre classe de stage respective dans le but  de  cerner les représentations des élèves au sujet de  l’évaluation. Nous  avions deux classes à disposition : une  de 1ère année et une de 2ème  année primaire (3ème et 4ème  selon HARMOS). Dans un deuxième  temps, nous avons passé un  questionnaire que nous avons lu auprès  de chaque élève de  manière individuelle. Pour ce faire, nous nous  sommes  basées sur un test d’anxiété que nous avons traduit en   français et adapté pour nos élèves. Suite à la récolte de  données, nous avons analysé les résultats et cela  sous  divers angles. Il s’agissait en premier lieu de comparer  les deux  degrés dans le but de vérifier si l’anxiété  évoluait avec l’âge. Nous  avons ensuite distingué les  résultats obtenus chez les filles de ceux  relevés chez les  garçons afin de voir si l’anxiété variait d’un genre à   l’autre. Nous avons finalement cherché à savoir si une  dimension parmi  les trois (soucis, physiologie et  comportement) s’exprimait davantage  que les autres.},
      url = {http://patrinum.ch/record/17240},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.17240},
}