@article{Dutoit:17179,
      recid = {17179},
      author = {Dutoit, Laure},
      title = {Enseignement de type transmissif ou socio-constructiviste  ? une comparaison entre deux séquences d'enseignement de  droit au Gymnase},
      pages = {24 p.},
      note = {Mémoire professionnel, Diplôme d'enseignement pour le  degré secondaire II},
      abstract = {Le but de ce mémoire est de comparer deux démarches  d’enseignement – l’une qualifiée detransmissive et l’autre  inspirée du modèle socio-constructiviste – dans  l’enseignement dudroit. Dans la démarche « transmissive »,  l’enseignant explique la théorie aux élèves, puis ces  derniers effectuent une série d’exercices d’application.  Cette démarche a été utilisée avec deux classes de première  année, voie maturité, au niveau gymnasial, afin d’enseigner  un chapitre sur le droit des obligations. Lors de la  séquence dite « socio-constructiviste », menéeavec deux  autres classes parallèles, les élèves reconstruisent des  éléments théoriques du même chapitre de droit, à travers  les différentes étapes d’un travail de groupe. C’est en  comparant les résultats des élèves à un test commun, en  étudiant un questionnaire sur l’appréciation par élèves des  travaux de groupe et en analysant les productions des  élèves obtenues lors de la séquence « socio constructiviste  » que l’efficacité des deux démarches d’enseignement peut  être évaluée. L’analyse des résultats du test effectué par  les élèves a montré qu’il n’y avait pas dedifférence  significative au niveau de l’efficacité des deux démarches  d’enseignement. Cetteconclusion cependant assez forte doit  être nuancée par deux éléments : la formulation des  questions du test (qui suit une logique « transmissive »)  et la possibilité laissée aux élèves ayant suivi la  démarche « socio-constructiviste » de réviser le cours avec  un polycopié. Les analyses plus qualitatives montrent que  la démarche « socio-constructiviste » entraîne des  compétences que la démarche dite transmissive n’exerce pas  : des compétences juridiques,des compétences analytiques et  de synthèses et des compétences interpersonnelles par le  fait de travailler en groupe. De plus, les élèves  sembleraient apprécier cette manière de travailler. La  conclusion de ce mémoire est qu’aucune de ces deux  démarches d’enseignement ne devrait être considérée comme  la panacée, mais plutôt comme des démarches  complémentaires, à utiliser afin de pouvoir mieux adapter  la séquence d’enseignement au contenu et afin d’offrir un  enseignement varié aux élèves.},
      url = {http://patrinum.ch/record/17179},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.17179},
}