@article{Bovard:17150,
      recid = {17150},
      author = {Bovard, Lori and Filisetti, Gilles},
      title = {L'autoévaluation de nos élèves par rapport à leur activité  physique et leur condition physique},
      pages = {42 f.},
      note = {Mémoire professionnel, Master en enseignement pour le  degré secondaire I},
      abstract = {En 2006, l’OMS relate qu’au moins deux tiers des habitants  de plus de 15 ans de l’Union Européenne pratique moins de  30 minutes d’activité physique d’intensité modérée par  jour, tout comme 60 % de la population mondiale (Warburton  et al., 2007). Ce constat nous a alarmé en tant  qu'enseignants d'éducation physique. D'ailleurs, nous  observons que nos élèves ont des habiletés motrices parfois  très faibles, qui vont souvent de pair avec un surpoids ou  de l'obésité. Notre premier objectif a donc été d'établir  le niveau d'activité physique quotidienne de nos élèves par  rapport aux références médicales : entre 10'000 et 13'000  pas par jour (Janssen I,2007), qui a été calculée à l'aide  de podomètres prêtés aux élèves. Malgré des recommandations  médicales et sociales, communément répandues, les enfants  ne bougent pas assez. Notre hypothèse est donc qu'ils ne  perçoivent pas adéquatement leur niveau d'activité  physique. En effet, si un enfant pense bouger beaucoup, il  ne changera pas son comportement face à ces  recommandations. Pour vérifier cette hypothèse, les élèves  de nos classes (cinq classes de 5 à 8e) ont rempli un  questionnaire sur la perception qu'ils avaient de leur  activité physique et sportive, ainsi que de leur condition  physique (force, endurance, détente, agilité, souplesse,  vitesse). Les tests de condition physique sont ceux qui se  trouvent dans le carnet d'éducation physique vaudois. En  comparant ces différentes données, nous avons constaté que  nos élèves ont une bonne activité physique (la moyen ne se  trouvant à 12288 pas quotidiens) ainsi qu'une bonne  perception de celle-ci. Concernant les facteurs de  condition physique, ce travail de recherche a révélé que  ces tests étaient peut-être à modifier afin qu'ils soient  plus complets et ainsi permettent une analyse plus exacte  en fonction de l'âge et du sexe. D'autre part, cela  permettrait aux élèves de se percevoir d'autant mieux en  condition physique. En outre, les élèves les plus actifs  n'ont pas été les plus performants en condition physique.  Nous arrivons à la conclusion qu'il serait préférable de  suivre leur évolution à travers leur scolarité au lieu de  comparer différentes classes.},
      url = {http://patrinum.ch/record/17150},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.17150},
}