@article{Ilschner:17108,
      recid = {17108},
      author = {Ilschner, Friederike},
      title = {"Les élèves sont capables d'apprendre" techniques de  mémorisation pour l'apprentissage du vocabulaire},
      pages = {44 f.},
      note = {Mémoire professionnel, Diplôme d'enseignement pour le  degré secondaire II},
      abstract = {Comment comprendre le processus de mémorisation ? Comment  le soutenir et l’optimiser ? Comment utiliser avec  efficacité les mnémotechniques ? Le présent travail reprend  ces questionnements, avec un focus sur l’enseignement du  vocabulaire de langue étrangère. La première partie se  concentre sur le fonctionnement de la mémoire. Elle  détaille les différents types de mémoires, qui participent  chacune à leur façon à gérer et trier le flux  d’informations auquel nous sommes continuellement exposés.  Notre intérêt porte notamment sur les réseaux de  connaissances de la mémoire à long terme, toujours plus  denses au fur et à mesure des nouveaux apprentissages. La  deuxième partie présente une sélection de techniques de  mémorisation utiles à l’apprentissage du vocabulaire. Les  méthodes des histoires, des lieux, des mots-clés,  d’associations par images, du regroupement ordonné et  logique de mots, ou la plus ou moins classique répétition  de listes de mots sont systématiquement examinés, tant au  niveau de leur fonctionnement que de leurs possibilités  d’application dans le contexte de l’enseignement. La  réalité de ce contexte scolaire occupe encore la troisième  partie, qui propose un feed-back sur l’utilisation de ces  méthodes en classe. D’une part, le bilan de l’enseignante  met en contraste l’enseignement explicite des  mnémotechniques, avec leur imbrication plus ou moins  naturelle et implicite dans une séquence d’enseignement.  D’autre part, la parole donnée aux élèves au travers d’un  questionnaire permet d’analyser leurs habitudes de travail  liées à la mémorisation du vocabulaire, leur appréciation  d’une telle activité, ou encore leurs propres techniques  d’apprentissage. Statistiques et commentaires closent cette  troisième partie. S’ensuit la conclusion, qui rappelle le  contexte plus général dans lequel s’inscrit l’enseignement  et l’apprentissage du vocabulaire. Celui-ci n’est  clairement pas un but en soi, mais sert de tremplin  permettant de progresser dans des compétences  communicatives plus complexes. De plus, l’enseignement à  l’aide de mnémotechniques permet de travailler sur le  rapport au savoir, et de chercher à troquer le désintérêt,  la résignation, ou l’échec contre la confiance et l’envie  de réussir.},
      url = {http://patrinum.ch/record/17108},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.17108},
}