@article{Pellet:16989,
      recid = {16989},
      author = {Pellet, Véronique and Favez, Mathias},
      title = {Performance ou progrès sentiments des élèves face à  l'évolution en éducation physique},
      pages = {61 f.},
      note = {Mémoire professionnel, Diplôme d'enseignement pour le  degré secondaire I},
      abstract = {L’évaluation de l’éducation physique suscite le débat dans  le canton de Vaud. Depuis 1980 la discipline n’est plus  notée et elle se démarque avec un outil d’évaluation bien  spécifique : l’actuel « cahier d’éducation physique ».  Servant de base à l’évaluation, il renseigne  essentiellement l’élève sur ses performances et les  activités qu’il a pratiquées. Parallèlement, depuis  plusieurs années, se développe une réflexion profonde des  méthodes et des critères d’évaluation de l’éducation  physique et sportive. Parmi ceux-ci, le progrès devient un  élément important à prendre en compte. En effet, les  disparités de morphologies, de capacités physiques et  d’aptitudes rendent l’évaluation de l’EPS injuste. Or  l’école publique s’est donnée la mission, autant que faire  se peut, de corriger les inégalités de chance et de  réussite. Elle recommande donc l’application du double  principe d’égalité et d’équité. Le principe d’égalité est  très largement utilisé lors des évaluations au travers de  la mesure de la performance. Le principe d’équité, qui  individualise le barème ou les objectifs en fonction du  potentiel de l’élève, l’est beaucoup moins. Le travail de  ce mémoire a été de faire vivre deux séquences et deux  évaluations aux élèves : la première sur le principe  d’égalité donc tenant compte de la performance, la seconde  sur le principe d’équité donc mesurant la progression. Au  terme de ces deux séquences un questionnaire leur était  distribué dans le but de connaître leurs sentiments  vis-à-vis de ces deux modes d’évaluation. Nous sommes  partis du principe que la majorité des élèves préféraient  une évaluation de leurs progrès et que cette majorité était  encore plus forte chez les élèves non-sportifs ou ayant des  difficultés en EPS. A l’inverse, nous pensions que les  élèves sportifs seraient globalement en faveur d’une  évaluation de leurs performances. Les résultats ont été  parfois surprenants.},
      url = {http://patrinum.ch/record/16989},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.16989},
}