@article{Beney:16700,
      recid = {16700},
      author = {Beney, Maxime and Bouille, Sébastien},
      title = {La santé physique des jeunes enseignants d'éducation  physique étude comparative avec les jeunes enseignants  d'autres branches et la population suisse},
      pages = {1 ressource en ligne (57 p.)},
      note = {Mémoire professionnel, Master en enseignement pour le  degré secondaire I},
      abstract = {Nous avons comparé la santé physique des maîtres  d’éducation physique et sportive (EPS) à celle  d’enseignants des autres branches. Notre échantillon est  constitué de trente-quatre enseignants stagiaires de la  Haute Ecole Pédagogique de Lausanne : d’une part, dix-huit  enseignants EPS (douze hommes et six femmes) et d’autre  part, seize enseignants non-EPS (sept hommes et neuf  femmes). Méthode : les sujets ont dû répondre à un  questionnaire interrogeant leur taux de pratique, le volume  et l’intensité de leur activité physique ainsi que les  troubles et maladies subies durant leur vie. Ils ont  ensuite effectué quatre tests de condition physique (force  globale du tronc, test d’endurance, test d’équilibre sur  une jambe et test de souplesse). Résultats : les  enseignants EPS obtiennent de meilleurs résultats que les  enseignants non-EPS en endurance de manière significative.  Il y a une tendance pour l’équilibre et aucune différence  pour la souplesse. Les enseignants EPS de sexe masculin  sont meilleurs au test de la force du tronc tandis que les  femmes des deux groupes obtiennent ici les mêmes résultats.  L’analyse des questionnaires fait ressortir quelques  facteurs explicatifs. Les enseignants EPS ont une pratique  hebdomadaire totale plus importante et font de manière  générale plus d’heures moyennes à intenses par semaine. Si  l’on analyse les différences entre les sujets de même sexe,  les hommes EPS se distinguent par une activité physique  moyenne à intensive plus importante que les enseignants  non-EPS, mais ce n’est pas le cas pour les femmes. Enfin,  les sujets EPS respectent davantage les recommandations en  terme d’activité physique que les enseignants non-EPS. Ces  derniers accumulent en outre davantage de troubles  physiques. Conclusion : Les maîtres d’EPS ont globalement  une meilleure santé physique que les enseignants d’autres  branches. Cette étude devrait être complétée par une  récolte de données sur le terrain et avec des sujets plus  âgés pour pouvoir observer l’évolution des indicateurs de  santé physique au cours de la carrière des enseignants.},
      url = {http://patrinum.ch/record/16700},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.16700},
}