@article{Jacot-Descombes:16683,
      recid = {16683},
      author = {Jacot-Descombes, Delphine},
      title = {Les émotions des élèves pendant la transition du primaire  au secondaire},
      pages = {1 ressource en ligne (35 p.)},
      note = {Mémoire professionnel, Master en enseignement pour le  degré secondaire I},
      abstract = {La transition entre primaire et secondaire représente un  changement important et une source de stress pour de  nombreux élèves. L'introduction de la nouvelle Loi sur  l'Enseignement Obligatoire a modifié la structure de  l'école et le changement vécu par les élèves est d'autant  plus important. Or les recherches ont mis en évidence que  la qualité de cette transition joue un rôle dans le  phénomène d'accrochage scolaire pour la suite du cursus. En  particulier, le sentiment de bien-être influence la qualité  du travail et des apprentissages de l'élève. Les recherches  ont développé les concepts d'intelligence émotionnelle et  de métaémotion, pour tenter d'expliquer les phénomènes  complexes que sont le ressenti émotionnel et la gestion des  émotions. A l'école déjà, le niveau d'intelligence  émotionnelle des élèves influence la façon dont ils sont  perçus par leurs pairs mais aussi leurs comportements  sociaux et leur manière d'aborder et de résoudre diverses  situations. De nature exploratoire, notre recherche porte  sur les émotions des élèves au moment de la transition du  primaire au secondaire. Elle vise à mettre en évidence  quelles émotions sont exprimées par les élèves mais aussi  quelles émotions leurs camarades et leurs enseignants leurs  attribuent. Nos résultats montrent que les élèves sont  capables d'exprimer leurs émotions et ce qui les cause, ce  qui indique des compétences métaémotionnelles développées.  Nous remarquons une divergence entre les émotions  manifestées par les élèves, essentiellement agréables, et  celles qui leurs sont attribuées par leurs camarades et  leurs enseignants, plus nuancées dans le cas des élèves  orientés en voie générale. Les raisons de cette différence  pourraient relever de la difficulté pour un élève à  exprimer une émotion désagréable et de la nécessité de s'en  protéger. En conclusion, notre étude ouvre quelques pistes  à investiguer. En particulier il serait intéressant  d'étendre la recherche à une population plus importante, et  de s'intéresser plus en détail aux causes des différences  relevées. Les réponses différentes entre élèves et  enseignants poussent à s'interroger sur la capacité des  enseignants à interpréter correctement les émotions de  leurs élèves.},
      url = {http://patrinum.ch/record/16683},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.16683},
}