@article{Dulex:16642,
      recid = {16642},
      author = {Dulex, Noémie and Jamie, Samira},
      title = {Les émotions et réactions qu’engendre la punition  collective chez des élèves de 1ère et 3ème HarmoS},
      pages = {1 ressource en ligne (37 p.)},
      note = {Mémoire professionnel, Bachelor of arts en enseignement  pour les degrés préscolaire et primaire},
      abstract = {L’aspect émotionnel est une des dimensions essentielles à  prendre en compte particulièrement chez les élèves du  premier cycle car ceux-ci entament de nouvelles expériences  au sein de l’école. Ces dernières suscitent de nombreuses  émotions qu’ils n’ont peut-être pas ressenties ou  explicitées auparavant. C’est pourquoi, notre intérêt s’est  porté sur une situation qui peut engendrer des émotions.  Notre choix s’est dirigé sur la punition collective car  nous avons pu observer cette pratique lors de certains de  nos stages ainsi que les vives émotions qu’elle suscite  chez des élèves. Perron et Gosselin (2007) à la suite de  Harris (1986) démontrent que les enfants plus âgés ont un  raisonnement plus riche et distinguent les émotions réelles  des émotions apparentes. Piaget (1932) mentionne que les  enfants âgés entre 6 et 7 ans sont favorables à la punition  collective, contrairement aux enfants âgés de 9 à 11 ans.  Charles (1998) relève que l’attitude de l’enseignant a des  conséquences sur le comportement des élèves. Notre étude  vise donc à comparer le point de vue d’élèves de 1ère  HarmoS et de 3ème HarmoS relativement à la richesse du  vocabulaire lié aux émotions, au consentement de la  punition collective ainsi qu’à la répétition des modes  d’enseignement de leur enseignante. Nos résultats montrent  des différences entre les élèves selon le degré suivi. Par  exemple, il existe des différences entre les élèves de 1H  et de 3H au niveau du vocabulaire lié aux émotions. Par  contre, les élèves de 1H comme de 3H auraient recours à la  punition collective et des élèves de 1H comme de 3H se  réfèrent au mode de fonctionnement de leur enseignante. Nos  résultats montrent que la richesse du vocabulaire lié aux  émotions évolue au fil du temps et que notre enseignement a  un impact sur nos élèves. En effet, nos entretiens nous ont  permis de constater que ces derniers adhèrent aux méthodes  de leur enseignante, par exemple: coin silence ; disperser  les élèves dans d’autres classes. Notre recherche nous a  donc permis de cerner l’importance de notre mode  d’enseignement aux travers des exemples cités.},
      url = {http://patrinum.ch/record/16642},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.16642},
}