@article{Sanchez:16432,
      recid = {16432},
      author = {Sanchez, Elodie and Tissot, Amaury},
      title = {Quelles conceptions de l’autorité de l’enseignant au début  du secondaire I ? Représentations d’élèves de la voie  prégymnasiale},
      pages = {1 ressource en ligne},
      note = {Mémoire professionnel, Master en enseignement pour le  degré secondaire I},
      abstract = {De nos jours, l’exercice de l’autorité est devenu une  préoccupation majeure dans le métier de l’enseignant. Ce  constat est visible à travers le développement de  formations professionnelles à l’initiative de  l’institution, le nombre de travaux de recherche sur cette  thématique, et également à travers l’actualité qui en fait  un sujet de premier plan lorsqu’il s’agit de traiter du  thème de l’éducation. L’enseignant fraichement diplômé est  souvent confronté au décalage entre ce qu’il voulait qu’il  se passe et ce qu’il se passe réellement dans la classe. Ce  mémoire se veut être un prolongement autour de cette  thématique. Il se fixe comme objectif de proposer un angle  novateur sur cette thématique ou du moins peu traité par la  recherche : aborder le thème de l’autorité du point de vue  des élèves, des diverses représentations qu’ils ont face à  cette notion et des pratiques qui en découlent. C’est au  moyen d’entretiens réalisés auprès d’élèves de la voie  prégymnasiale, dans la fin de leur première année d’études  secondaires dans la région lausannoise que l’analyse se  porte. Ce questionnement a pour but de découvrir si la  perception des élèves peut donner des indications sur  l’efficacité ou non de certaines pratiques enseignantes et  s’il existe des pistes d’action pour développer ou  simplement réfléchir notre autorité. L’analyse effectuée  tend à montrer que l’autorité doit se construire de concert  avec les élèves, donc en situation de classe. L’enseignant  reste le garant du respect des règles, mais il peut, grâce  à cet outil, en permettre l’appropriation par les élèves.  Une fois présenté, un dispositif d’utilisation de l’outil  doit être mis en application et tenu tout au long de  l’année, de façon non-négociable et les élèves se doivent  d’en tenir compte. La sanction ne doit être de loin pas  abolie car elle permet la tenue du cadre et le maintien  d’un climat de confiance dans la classe. Dans cette  situation, non seulement l’élève est acteur mais il est  également responsable et solidaire de la bonne tenue des  règles et doit répondre de ses manquements auprès de ses  camarades et de l’enseignant. Meirieu souligne qu’il est  question d’« investir son autorité en créant des « projets  » ». On peut comprendre et appliquer sa pensée par une mise  en place faisant appel à la participation du groupe-classe  pour ce projet commun : établir des règles de vie.},
      url = {http://patrinum.ch/record/16432},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.16432},
}