@article{Logan-Fretz:16355,
      recid = {16355},
      author = {Logan-Fretz, Madeleine},
      title = {Le débat et l’interdisciplinarité en français, en anglais  et en allemand au service de l’EDD},
      pages = {1 ressource en ligne},
      note = {Mémoire professionnel, Bachelor of arts en enseignement  pour les degrés préscolaire et primaire},
      abstract = {Comment enseigner l’éducation en vue du développement  durable (EDD) lorsque l’on n’enseigne ni les sciences  sociales (histoire et géographie) ni les sciences de la  nature ? Ou si l’on enseigne les branches citées plus haut,  comment élargir cet enseignement aux langues ? Comment,  dans une optique d’EDD, traiter des questions socialement  vives par le biais des langues ? Ce thème colle tout à fait  à notre actualité et réalité d’enseignant. En 1992, 182  états signaient « La convention de Rio » dont la Suisse.  Suite à cette signature, la Confédération helvétique a  inscrit le développement durable dans la « Constitution  fédérale (art.2 et art.73). Depuis la CDIP (Conférence des  directeurs de l’instruction publique) ainsi que la CIIP  (Conférence inter-cantonale de l’instruction publique de la  Suisse) ont inscrit la « Formation en vue du développement  durable » dans leur programme d’activités et certains  cantons l’ont déjà intégrée dans leur loi scolaire. Dans  cette perspective, le Plan d’Etudes Romand (PER) composé de  5 fascicules en consacre un entier aux Capacités  transversales et à la Formation générale. Cependant,  lorsque l’enseignant consulte les pages dédiées à la  Formation générale, le PER lui propose des pistes  d’exploitation concernant l’EDD dans toutes les disciplines  mais aucune dans la L2, l’allemand, ou dans la L3,  l’anglais. Ce mémoire se propose donc d’explorer de  nouvelles pistes dans le domaine des Langues et de vérifier  l’efficacité de ces pistes.},
      url = {http://patrinum.ch/record/16355},
      doi = {https://doi.org/10.22005/bcu.16355},
}